#Rabelais | Cecigny c’est un ami
Belle journée, tonique, grâce à ces deux exercices, celui du matin j’en suis familier, c’était plutôt le fait de le transposer dans les outils Internet, et celui de l’après-midi là en terrain complètement neuf. La nouveauté, ce matin, pour cette balade avec écriture synchrone, c’est que la fac était quasi vide, salles fantômes, à peine quelques silhouettes pour des oraux ou des jurys. Mais c’est ce qui a fait la beauté des textes. Les étudiants se sont servi de mon propre appareil-photo, chacun leur tour. Quand j’ai lu le texte d’Annabelle, j’étais très surpris : quand j’avais transféré les images, j’avais repéré cette séquence sur un électricien aperçu en train d’oeuvre dans le faux-plafond découpé – moi j’aurais fait tout mon texte là-dessus, et elle m’a seulement dit : – Je ne savais pas si on avait le droit... Je le prends, ce droit, on ne vole pas l’image, c’est sa construction qui est curieuse, et qu’on ne sache pas si ici les gens descendent du plafond ou – fin de l’année aidant – s’y envolent jusqu’à octobre.
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1ère mise en ligne et dernière modification le 20 mai 2011
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