Jeudi soir, à Massy (récit à venir) rencontre plus que vive et rêveuse avec un astrophysicien, Roland Lehoucq. Du coup, arrivé gare Massy TGV, après retour par bus 9, à 17h52, le TGV Paris-Tours qui passe à Massy à 17h40 était déjà passé bien sûr. J’achète un billet Massy-Saint-PIerre des Corps pour le 19h07 Lille-Bordeaux et me prépare à attendre 1h (assez réjouissant dans cette gare, mais il y a une petite salle d’attente avec prises électriques), quand je m’aperçois que le Marseille-Nantes (le même que nous avions pris samedi dernier à 12h44 depuis Marseille Saint-Charles) a été bloqué pendant 1h26 par les orages vers Mâcon (pendant que sur le plateau de Saclay j’attendais coincé sous un arrêt de bus). Voilà comment j’étais dans le train à 18h06, planté au bar où d’inévitables rugbymen (ou supporters de) avaient compensé le retard en vidant la réserve de bière du TVG : ça volait niveau rugby, c’est-à-dire pas très haut, ô ces yeux vitreux et ces bégaiements de groupe. Et j’ai rédigé sur twitter ce message : à Massy loupé le 17h40 pour Tours au lieu attendre le 19h07 pour Bordeaux ai pris le 16h38 pour Nantes qui avait 1h30 retard. Ce qui est grand, du point de vue géographique, et qu’il s’agit seulement de rentrer chez soi ?