Histoire simple :
–1 : qui n’est pas composé. Chercher une unité de forme, une histoire que l’on puisse raconter autour d’un verre.
–2 : qui est élémentaire, indivisible. Approcher l’Homme dans sa plus simple condition, ne pas l’analyser, juste le montrer. Voir L’homme nu de Simenon.
–3 : qui n’est pas multiple. Ne pas s’écarter du récit principal, ne pas perdre le lecteur dans les méandres.
–4 : qui se suffit à lui-même. Un récit avec un début, un milieu et une fin, un ensemble clos.
–5 : qui est formé d’un petit nombre d’éléments, par opposition à complexe. Limiter les intrigues et les personnages, creuser et ne pas élargir.
–6 : qui est facile à comprendre, à faire. Lisible, compréhensible, toujours éclaircir son propos, cacher le labeur, que cela ne sente pas la sueur.
–7 : sans recherche. Ne pas chercher à impressionner le lecteur, juste lui raconter.
–8 : Aller au but, ne pas s’écouter écrire. –9 : Par la forme de son récit, par le choix de ces mots, par les tournures de phrases, être modeste, ne pas démontrer. –10 : qui manque de finesse, voire d’intelligence. Quelquefois être brut, être sot, l’auteur n’a rien à prouver.
–11 : qui comporte peu d’ornements. Fuir les effets de style, ne pas faire le beau.
–12 : ce qui est simple (s’oppose à ce qui est complexe). Écrire simple, comme un trait, comme une esquisse, être direct.
–13 : (sports) au tennis, partie entre deux adversaires. Écrire est une partie de plaisir entre deux partenaires, l’auteur et le lecteur.
–14 : simples : plantes médicinales. Soigner, les autres, le monde, ou juste soi.
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simple
Simple : – adjectif invariable.
Histoire simple :
– 1 : qui n’est pas composé. Chercher une unité de forme, une histoire que l’on puisse raconter autour d’un verre.
– 2 : qui est élémentaire, indivisible. Approcher l’Homme dans sa plus simple condition, ne pas l’analyser, juste le montrer. Voir L’homme nu de Simenon.
– 3 : qui n’est pas multiple. Ne pas s’écarter du récit principal, ne pas perdre le lecteur dans les méandres.
– 4 : qui se suffit à lui-même. Un récit avec un début, un milieu et une fin, un ensemble clos.
– 5 : qui est formé d’un petit nombre d’éléments, par opposition à complexe. Limiter les intrigues et les personnages, creuser et ne pas élargir.
– 6 : qui est facile à comprendre, à faire. Lisible, compréhensible, toujours éclaircir son propos, cacher le labeur, que cela ne sente pas la sueur.
– 7 : sans recherche. Ne pas chercher à impressionner le lecteur, juste lui raconter.
– 8 : Aller au but, ne pas s’écouter écrire.
– 9 : Par la forme de son récit, par le choix de ces mots, par les tournures de phrases, être modeste, ne pas démontrer.
– 10 : qui manque de finesse, voire d’intelligence. Quelquefois être brut, être sot, l’auteur n’a rien à prouver.
– 11 : qui comporte peu d’ornements. Fuir les effets de style, ne pas faire le beau.
– 12 : ce qui est simple (s’oppose à ce qui est complexe). Écrire simple, comme un trait, comme une esquisse, être direct.
– 13 : (sports) au tennis, partie entre deux adversaires. Écrire est une partie de plaisir entre deux partenaires, l’auteur et le lecteur.
– 14 : simples : plantes médicinales. Soigner, les autres, le monde, ou juste soi.
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