Dister moi que non ?

arrivée à New York et...


Premier message qui tombe sur le mail une fois branché l’ordi sur prise Ethernet au 110 Bleeker Street... Dites-moi que c’est pas vrai ? - Et juste comme je valide le BAT de mon Led Zep avec un salut fraternel à Alain Dister à la fin : on fait quoi, quelle rage ? Je l’entends encore me raconter leur 1er concert, après une rencontre aux disques Atlantic, en janvier 1969... Ou comment il avait emmené Jimi Hendrix l’inconnu aux puces de Clignancourt, qu’il s’était acheté cet uniforme à la Sgt Peppers... Et les dérives de Hippie Days, la décapotable qui glisse sur les routes d’Amérique... Alain, tu ne nous avais pas tout raconté, t’as pas le droit merde.


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1ère mise en ligne et dernière modification le 3 juillet 2008
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