# Chantiers Tout ce qui coule

Merci à celles et ceux qui passeront voir. Merci à celles qui ont participé à mon chantier depuis leur lecture attentive, leur retour et leurs questions, Clarence, Nathalie, Catherine… Gratitude. Voici la dernière mouture, celle du jour…

A propos de Anne Dejardin

Projet en cours "Le nom qu'on leur a donné..." Résidences secondaires d'une station balnéaire de la Manche. Sur le blog L'impermanence des traces. https://annedejardin.com. Né ici à partir de l'atelier de François, Photographies. Et les prolongations avec un texte pour chaque nom qui dévoile un bout de leur histoire. Avec audios et vidéos, parce que des auteurs ou comédiens ont accepté de lire ces textes, l'énergie que donnent leurs voix. Merci. Sur Youtube : https://www.youtube.com/channel/UC71EVLVR9RIVzTojzdI8yfg

8 commentaires à propos de “# Chantiers Tout ce qui coule”

  1. Bonjour Anne,

    Je viens d’achever  » Tout ce qui coule  »
    Foisonnement d’écrits, d’histoires, de pensées, de positionnements.
    Je retiens Miette, la femme et l’enfant et la Mer du Nord, dont j’ai souvenir à avoir déjà lu dans les textes.
    J’ai eu le sentiment qu’il y avait plusieurs histoires avec quand même des sujets centraux qui peuvent soit s’extraire ou s’inclure les uns dans les autres.
    Et un socle à partir de cette relation Miette, Madame, sa fille, le docteur mais peut être que je me trompe.
    On en parle quand tu veux, si tu le veux.
    Bon dimanche.

  2. Grand merci, Clarence, de ton attention et de ta lecture. Je t’ai répondu par mail. Très heureuse que tu me proposes qu’on en parle. Très volontiers. Aide précieuse.

  3. j’aime ce beau titre (sans l' »avec » peut-être.. juste: Tout ce qui coule) et la récurrence de cette coulée tout au long du récit comme la symbolique forte qu’installent le rituel du jaune d’oeuf le matin, de cette machine à coudre-table d’écriture, du fort Frémalle tout au long du récit. je ne situe pas bien la place de Marie-Jeanne par rapport à l’auteur, que tu as rendu très présent(e) dans sa lutte contre la prégnance du chagrin et la difficulté à écrire le drame et en même temps, la nécessité vitale de l’écrire. Je me suis demandé ce que signifiait les passages en rouge…

  4. zut le texte est partir. donc rouge sang? (je ne crois pas) La scène finale terrible terrible dont tu as bien rendu l’atrocité.

  5. Qui trouve toute sa place dans les réflexions du zoom d’hier. J’aime la trace des questions intégrées aux flux, c’est aussi la beauté d’un chantier. Cette écriture en expansion(en rhizome)voire en débordements qui semble t’appartenir . Merci Anne

  6. Merci Nathalie. Ta lecture, vos lectures, définissent quelque chose du chantier, lui donne assise, l’éclaire. Vos commentaires tracent l’ébauche du synopsis. Je vais recopier vos mots, me les mettre au chaud. Big merci.

  7. Je ne peux pas lire tout ça, mais pour les quelques passages pris au hasard cela a l’air bien écrit. Je ne suis pas un super fan des histoires familiales, (même quand c’est Marcel Proust), mais j’ai vu dans votre note d’auteure que c’est écrit pour vous, donc je suppose que ça vous convient. En tous les cas l’association atelier d’écriture / votre histoire a l’air de bien fonctionner ! Peut-être en faire un film, à la suite du thème de l’atelier actuel ?

    • Merci de ton passage, même en survol. Je sais j’écris long… Ton projet à toi est assis dans le présent, le quotidien, le réel et c’est admirable. Très important. Je brasse du vent, du passé, du rien. Belle suite à tes engagements.