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fin du film

Hier c’était une façade pour décor de cinéma, je disais, la façade qui restait seule debout et plus rien derrière qui la tienne. Ce matin, il reste cette trace sur les murs – j’en ai photographié souvent, à Montréal aussi –, et le plus beau texte à propos de ces empreintes d’intérieur jetées en pâture au regard de la vile, c’est dans le Malte Laurids Brigge de Rilke.


François Bon © Tiers Livre Éditeur, mentions légales
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1ère mise en ligne et dernière modification le 4 novembre 2010
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