Il faisait si beau ce dimanche 20 mars à Paris qu’on se demandait si les gens auraient le courage de venir s’enfermer en bas, dans le beau jardin d’hiver (mais sous verrière) pour écouter un zigue parler de Proust pendant 1h20 chrono en fait si, c’était plein ! Mais, comme d’habitude, pour moi c’est très important de venir m’installer, rester, sentir, dans la salle bien avant la perf, j’y étais dès 11h. Le pire étant que, tout mon matériel installé, dans le stress de la minute de lancement, j’ai bien appuyé sur le bouton Record du GH5s, mais pas vérifié que je l’avais effectivement lancé, et, à l’arrivée, rien dans la carte SD (si, le son dans le Zoom F6 mais qu’est-ce que ça m’a vexé). En tout cas, au soleil de midi, Cécile Cayol m’invite à m’asseoir pour un café tout au-dessus, sur leur toit terrasse et c’est comme un petit morceau de mythe, indépendamment de la vue plongeante sur l’ancienne maison de Sarah Bernhardt. Ces trois jours, dans les heures TGV pour Chambéry, j’ai reconfiguré la page d’accueil (cliquer sur le bandeau ci-dessus, depuis où qu’on soit dans le site) et éclaté la navigation, je peux enfin reprendre ce « journal images ».