cherche Volvo 20 ans 1200 $CA
Qu’est-ce qui ressemble le plus à un sous-sol de fac où ça parle littérature contemporaine ? Réponse : un sous-sol de fac où ça parle littérature contemporaine. Mais c’est bien, on est d’autant plus concentrés, et ça vaut le coup. Reste que dans une heure c’est mon tour. Donc aujourd’hui il n’y aura de la ville que le bruit un peu loin, même pas ces élancements de béton que me promets bien d’explorer l’an prochain : parfois dans la rue je regarde les vieilles bagnole en me demandant quelle marque serait dans nos prix (faudra que ça tienne 10 mois) : ai regardé sur le Net, ça se trouve – peut-être n’avoir que ça à dire tout à l’heure, que ça passe aussi par là ? Chut, répétez pas.
LES MOTS-CLÉS :
François Bon © Tiers Livre Éditeur, mentions légales
1ère mise en ligne et dernière modification le 4 juin 2009
merci aux 396 visiteurs qui ont consacré 1 minute au moins à cette page
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Messages
1. cherche Volvo 20 ans 1200 $CA — mode rabat-joie ? , 4 juin 2009, 22:14
Attention quand même aux routes québécoises avec quelques mois d’hiver : sous-sol de fac, même combat, sans doute. Mais climat, routes et survie, faudrait relire la théorie desdits climats chez Montesquieu d’un œil attentif, à mon avis.
2. faut voir, 4 juin 2009, 22:20, par Anne-Marie Emery
il y a 18 ans, on avait loué une chrysler de taille moyenne qui contenait les bagages de 4 personnes + les courses ; çà avait l’air costaud, il y en a peut-être encore,on avait même essuyé une tornade en spirale en pleine campagne et la bête n’avait pas bronché
Bonne investigation
3. Evitement, 4 juin 2009, 22:46, par KMS
Journée en évitement. C’est la sensation qui reste là tout de suite à 22h43 et ce n’est sûrement pas avec le peu de temps avant d’aller se coucher et terminer la journée que ça va changer. C’est peut être soi-même finalement qu’on a soigneusement évité toute la journée. Ou alors je me suis couru après ce qui n’est pas mieux.
Voir en ligne : KMS
4. potasse d’Alsace, 4 juin 2009, 23:08, par ms
le puits s’appelait Rodolphe et le jour baissait en tirant sur le rose : c’était gentil de me faire faire le détour
Voir en ligne : ms
5. passerelle mais plus légère, 5 juin 2009, 09:20, par gilda
J’allais écouter une amie parler en librairie, et devant cette église discrète où parfois je me suis réfugiée, ouverte à des heures larges parce qu’un organiste répétait, des enfants jouaient au ballon. A notre époque d’interdictions, j’ai aimé qu’on les laisse en paix.
Et puis sans tarder j’ai filé à ce rendez-vous littéraire et un peu policier.
Voir en ligne : traces et trajets
6. homme des périphéries, 5 juin 2009, 09:30, par Michel Brosseau
Croisé cycliste râteau de bois au porte-bagages, lent, bottes aux pieds. Lui qui fait son foin entre stade, cimetière et logements sociaux.
Voir en ligne : à chat perché
7. 5h30, 5 juin 2009, 10:42, par Anne Savelli
du matin bien sûr, c’est l’heure où le livreur de farine réveille tout le quartier en actionnant pompes et tuyaux, camion ventousé à la boulangerie. A bas le pain (presque).
Voir en ligne : Fenêtre open space