
avoirs et êtres
tout le journal images, ou
une autre date au hasard :
2008.12.11 | Bagnolet nuit, bibliothèque et mandoline
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Pour qui voudrait savoir le menu, ce dimanche, à Peribonka... Une heure plus tôt, à la halte d’Alma, après les 3h de montagne et forêts : Notre slogan : avoirs et êtres au-dessus de la banque Desjardins, dans la zone commerciale où on s’arrête pour ravitaillement avant de reprendre le chemin.
LES MOTS-CLÉS :
François Bon © Tiers Livre Éditeur, mentions légales
1ère mise en ligne et dernière modification le 6 février 2010
merci aux 386 visiteurs qui ont consacré 1 minute au moins à cette page
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Messages
1. la langue des banquiers, 6 février 2010, 17:32, par ms
traduire vos avoirs et nos êtres ?
Voir en ligne : L’employée aux écritures en déplacement
2. envie, 6 février 2010, 22:49, par PdB
d’aller au Portugal, marre de l’hiver... mais ça continue
(j’adore les fins d’après midi comme celle-là)
3. être seule mais en bonnes compagnies, 7 février 2010, 00:42, par gilda
On est parfois souffrant d’être libres. Il est difficile de se penser seul(e) quand on s’est cru à nouveau deux.
Les rendez-vous amicaux s’enchaînent à merveille. Boire et rire, bons remèdes. Merci les filles, merci les gars.
Et sinon, écrire (avancer, rattraper tout ce temps perdu à pleurer) et dormir - éteindre son propre corps est si épuisant, au fond il ne sont pas si loin mes vingt ans -.
Voir en ligne : traces et trajets
4. je me souviens #29, 7 février 2010, 21:41, par PdB
être allé demander dans cette boutique une première fois l’adresse du gardien de l’immeuble (rue Lavoisier, au 34 si je me souviens - bien- ) et y avoir ressenti une sorte de gêne (j’avais 25 ans, je faisais des enquêtes : je ne connaissais pas encore les époux Pinson-Charlot, ni la conscience ou l’inconscient de classe, ni toutes ces habitudes qui nous forcent à ne pas entrer dans des boutiques dont nous savons, par avance, qu’elles ne sont interdites) ; puis à nouveau plus de vingt ans plus tard, pour demander l’adresse - encore- d’un marchand de gants (dans cette rue qui descend vers la Madeleine, Tronchet) et de me remémorer cette gêne, mais qu’elle avait alors disparu devant l’amabilité de la personne qui m’avait accueilli (en revenant de chez le notaire, passant devant la maison où vécut Proust, boulevard Haussmann) (oui-oui et la voiture jaune : bien sûr, mais quelle belle après midi...)
1. je me souviens #29, 7 février 2010, 22:55, par ms
si je me souviens bien (je passais devant en bus 94 tous les jours à une époque) "Parfait élève de Pouyane" dit l’enseigne et on comprend bien que nos habits n’ont rien à faire chez ce teinturier là