
championne
J’EN AI PARLÉ TOUTE LA NUIT AVEC MA SOEUR ANNIE
CHAMPIONNE REPRÉSENTANTE TUPPERWARE
SUZIE VILLENEUVE
J’ABANDONNE MA CARRIÈRE
À l’attente aux caisses du supermarché, l’envie irrépressible, régulière mais contenue, d’acheter ces hebdomadaires avec programme télé pour savoir comment ils peuvent battre les nôtres. Méchant coup pour Tupperware en tout cas.
LES MOTS-CLÉS :
François Bon © Tiers Livre Éditeur, mentions légales
1ère mise en ligne et dernière modification le 21 février 2010
merci aux 603 visiteurs qui ont consacré 1 minute au moins à cette page
1ère mise en ligne et dernière modification le 21 février 2010
merci aux 603 visiteurs qui ont consacré 1 minute au moins à cette page
Messages
1. à nouveau, 22 février 2010, 04:10, par PdB
j’ai lavé la voiture, le gris du ciel, le matin tôt, personne dans les rues, garé devant les folies, un café le matin tôt, les habitués, juifs, arabes, yougoslaves (ça existe encore), des femmes, des hommes, le café, le garage, les flics, dimanche matin à la gare, retour, voilà, tout a changé, la lumière à quatre heures du matin (et ton si gentil mail) (il est tôt)
1. à nouveau, 22 février 2010, 16:38, par Michel Brosseau
Redoux, et de nouveau la verticalité des arbres.
Voir en ligne : à chat perché
2. signe du temps, 23 février 2010, 08:42, par PdB
Hier, à la terrasse, elle était assise sur ses genoux, et lui disait "tu sais, j’ai tout de suite beaucoup aimé cette fragilité que j’ai trouvée en toi...", et lui, la main blessée, deux doigts et le poignet bandés "ah oui ?", il sourit, sur la table rouge, une bouteille de champagne et deux coupes. Le printemps peu-être
3. solitude ?, 23 février 2010, 20:58, par PdB
J’ai comme le sentiment de me retrouver un peu seul dans ce "petit journal" (j’ai compilé, j’ai arrangé, j’ai commencé, j’ai peur du calaméo, et de la publication quand même elle serait confidentielle) et n’importe, parfois le temps passe, le ciel se grise, j’ai pris cette photo cette après midi, sur l’avenue cet après midi - un air de printemps, une ouverture lumineuse, un espoir et une vision de l’avenir (j’ai ouvert le champagne, j’ai comme un peu peur tout à coup)
1. solitude ?, 23 février 2010, 21:03, par Anne Savelli
Non, non, on est tous là, je crois - c’est juste que de temps à autres, un sentiment de vide prend, et pas toujours envie d’écrire les deux lignes, alors... Mais en tout cas je te lis tous les jours !
2. un carré avec un triangle dessus , 23 février 2010, 21:53, par ana nb
elle explique un carré avec un triangle dessus c’est une maison , ben j’y arrive pas , c’est une horreur ! une horreur ! ( n’en saurai pas plus presse le pas , à prendre des bouts de conversations au passage ou des images comme , le visage du coordonnier ce soir derrière la vitre , des arbres dans le bleu de Prusse , petites fictions du quotidien )
3. solitude du calaméo, 23 février 2010, 22:34, par ms
le calaméo compil je l’ai fait, mais il reste dans une grande solitude, hélas
Voir en ligne : L’employée aux images
4. solitude du calaméo, 23 février 2010, 22:35, par ms
je répondais à PdB en fait
5. solitude du calaméo, 24 février 2010, 00:25, par PdB
je comprends ; ce soir, c’en était de la même eau ; je suis allé voir un peu ce qui se tramait à saint germain des près : rien sinon la lune au dessus de l’hôtel de buci (j’aurais dû me mettre au travail, mais ce soir, impossible) (et de plus la chanson du rien de kms) (merci as et ms) (je mets celle de l’hôtel du dragon, même si je te l’ai donnée) (dans le suivant)
6. solitude du promeneur (pas solitaire) (dedicated to mc), 24 février 2010, 00:27, par PdB
une autre soirée, dans le même quartier, à me promener (mais avec toi) le soir, j’aime ça, j’attends le printemps (mais avec toi) et vivement encore
4. louseuse (mais snob, à n’en pas douter), 27 février 2010, 14:47, par gilda
Incapacité de parvenir à compiler : je commence, ici ou là, tente une nouvelle forme, n’y parviens jamais.
Sans doute parce que ce qui tient du flux ne me semble pas forcément devoir être figé ?
En même temps je serais curieuse de voir ce que ça peut dessiner.
(dimanche 21 février)
Bloomsbury à Roubaix, enfin, merci à ms grâce à qui j’ai pour une fois fait gaffe à la date au lieu de me réveiller quand tout était passé. Finalement c’est l’ensemble du musée qui m’aura enchantée. L’expo était trop réduite à mon goût et sans réelle découverte (je fais ma snob, oui, je sais).
Voir en ligne : traces et trajets