les éditeurs ont le téléphone

dédié à Flore Roumens


« L’envoi d’un manuscrit génère, en moyenne 5 appels téléphoniques. 1) pour demander à qui et où l’envoyer, 2) pour demander si on l’a bien reçu, 3) en général au bout de deux semaines, pour demander dans combien de temps il y aura une réponse, 4) quand la réponse est négative pour demander le retour du manuscrit et, éventuellement une nouvelle justification du refus, 5) pour dire que le manuscrit n’a pas été retourné, et là, parfois, le cauchemar du manuscrit égaré, surtout s’il comprenait des photographies originales....Bref, 2.000 manuscrit par an x 5 = 10.000 appels téléphoniques. [...] C’est donc un vrai problème. Une personne qui appelle une petite maison d’édition juste pour demander si elle reçoit des manuscrits, c’est à priori, une menace de harcèlement téléphonique... »
Sce : blog Léo Scheer. Sans parler des lettres manuscrites de rappel sans adresse mail... Pour Déplacements, merci de respecter le tout électronique...


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1ère mise en ligne et dernière modification le 15 novembre 2007
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