nécrophages

goujats de la semaine (avaient eu le prix la semaine dernière aussi)


« Il nous accueille du haut de son perron funèbre, l’œil glacé, et nous introduit dans un salon tristement meublé.[...] Sa voix, très assurée lorsqu’il s’engage dans une phrase, se dissout bientôt dans un brouillard assourdi. Son regard opaque, vitreux, a quelque chose de reptilien. Arrosées par un vin d’Anjou, quelques anecdotes sur l’opéra tiré de sa pièce... »
A lire ici, avec un balai chiotte pour nettoyer derrière.


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1ère mise en ligne et dernière modification le 17 janvier 2008
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