résolument sans drm

retour sur ce que j’appelle syndrome Melmoth réconcilié


J’étais revenu sur ces questions il y a quelques jours, en abordant les drm (dispositifs anticopie) via la farce tragi-comique de Balzac : Melmoth réconcilié. Pour ce qui concerne la littérature contemporaine, une prise de position vitale : oui, il nous semble avoir à gagner à la circulation et la propagation de textes significatifs par rapport à notre travail, et qui soient des incitations à d’autres partages, stages, lectures. Dans la nouvelle plate-forme de téléchargement de publie.net (d’ici quelques jours, en test ! et elle sera implémentable pour autres distributeurs, libraires ou blogs, avec bibliothèque lecteurs incluant automatiquement les mises à jour...), le PDF inclura l’ex-libris ou le mail du téléchargeur, plus garder pour ces textes un prix de téléchargement suffisamment minime pour qu’on puisse s’y risquer, en disant haut et fort que la moitié de la somme est reversée à l’auteur (merci à Olivier Cazeneuve pour le contrat désormais finalisé : voilà publie.net inventeur aussi dans le domaine du droit Internet, confid mais passionnant)... Suis donc d’autant plus sensible à cette analyse de Silvère Mercier dans Bibliobsession.


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1ère mise en ligne et dernière modification le 3 octobre 2008
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