qui saurait répondre ?
Comme j’ai aimé ses livres, à celui-ci, même les derniers, où on patinait des fois un peu dans la nostalgie. La vraie tradition où l’espace (la carte de Leaphorn avec ses petites aiguilles de couleur) jouait le même rôle que Paris chez Simenon, mais agrandi à l’échelle du territoire indien, avec les 3 heures de pick-up truck cabossé d’une ville à l’autre. Tiens, on va s’en relire, toutes affaires cessantes, un paquet de ceux du début : mais qu’est-ce qui lui a pris, à Tony Hillerman, de nous laisser tomber ? Je l’apprends par Rue 89, et apparemment sur son propre unofficial site la nouvelle n’est pas encore parvenue...
C’était le billet initial. Mais voici dans les commentaires la question suivante :
J’ai affiché ce texte trouvé dans l’un de ses ouvrages (mais lequel ?). Epitaphe.
Dans la maison faite d’aube
dans la maison faite de crépuscule du soir
dans la maison faite de nuages sombres
dans la gaieté puisse-t-il marcher
avec la beauté au-dessous de lui, il marche
avec la beauté tout autour de lui, il marche
avec la beauté c’est terminé
dans la beauté c’est terminé
Quelqu’un saurait répondre ?
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1ère mise en ligne et dernière modification le 30 octobre 2008
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