vos archives d’écrivain sur publie.net

mes propres textes disponibles, et ça pourrait aussi être un appel aux amis écrivains : faites vivre vos textes inaccessibles


C’était le projet de départ de publie.net : tout écrivain a, parallèlement à ses livres, une masse de textes en réserve dans son disque dur. Articles publiés en revue, et dont les droits bien sûr lui appartiennent, textes ou conférences dans colloques, dont les droits éditeurs ne valent que pour cette parution, livres devenus indisponibles et dont il a récupéré les droits, et tout simplement l’ensemble des livres parus avant 2002, ou pour lesquels aucun avenant spécifique n’a été conclu pour la diffusion numérique. Mais pourquoi pas entretiens, textes en chantiers, quitte à les retirer de la vente numérique lors de l’édition papier : on peut tout imaginer. Ce n’est pas de l’épicerie : voyez comment s’amorce déjà le matraquage rentrée littéraire 2010, avec les 13 livres sur lesquels s’organise tout le battage, et les autres déjà aux oubliettes avant d’exister. Que défendons-nous, le commerce, ou la littérature ? A nous de prendre en charge ce qui compte – et pour cela, le mettre en partage sur Internet, avoir confiance dans le débat d’idées, et simplement la qualité et l’intensité de ce que nous proposons à lire.

La forme très souple de publie.net est précisément organisée pour s’adapter à cette multiplicité de proposition. Elle n’est pas dommageable aux livres imprimés, au contraire elle les propage, elle les soutient. Et tout simplement, aussi, l’accès à un autre public : via nos abonnements, dans les BU ou bibliothèques territoriales, et plusieurs Instituts français à l’étranger (voir Londres, Varsovie), un vaste outil avec mots-clés et feuilletoirs là où la littérature s’apprend, s’évalue. C’est le chantier, l’atelier, que nous souhaitons ouvrir. Et si vous avez peur d’en parler à ce type cinglé, contactez les autres membres de l’équipe publie.net... Pour nous, contrat simple : plus on vend, mieux on se portera. Ce que vous nous confiez, on le fait vivre, et vous recevez la moitié des recettes nettes. C’est aussi la garantie de liberté réciproque, et que ça n’entre pas en concurrence avec votre relation si fusionnelle avec votre éditeur préféré, qui n’a même pas à vous donner sa permission. Vous serez même probablement plus fort à prochaine négociation.

Voici donc (cette intro bougera, mais la liste ci-dessous sera ré-actualisée à mesure – ceux qui ne figurent pas ci-dessous sont en cours de révision pour l’iPad), mes propres réserves de textes.

 

François Bon sur publie.net


 Au Buffet de la gare d’Angoulême

 Diptyque Chaissac

 En voiture

 Exercice de la littérature, cinq conférences

 Apprendre l’invention, sur les ateliers d’écriture

 Autoroute, roman, 1ère publication Seuil/Jeunesse, 1997

 Pour lire Rabelais, presque une introduction complète

 Grève, 1ère publication Seuil, 2000

 La ville est ce cri, 1ère publication Inventaire/Invention, 1998

 Qui se déchire, 1ère publication Théâtre Ouvert, 2000

 Hoboken, plan fixe, avec Jérôme Schlomoff

 Dans la ville invisible, roman, 1ère publication Gallimard Jeunesse, 1996

 Recherche d’un nouveau monde, nouvelles

 Pourquoi faut-il lire quoi ?, conférence (gratuit)

 L’Enterrement, récit, 1ère publication Verdier, 1991.


responsable publication François Bon © Tiers Livre Éditeur, cf mentions légales
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1ère mise en ligne et dernière modification le 2 juillet 2010
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