dette publique

de Setif, Charonne et autres


« J’ai dit au premier ministre Abdelaziz Belkhadem qu’on ne peut pas demander aux fils de s’excuser des fautes de leurs pères. » Sarkozy à Alger, cité par le Monde. Mon père n’est pas en faute. Mais la dette, je revendique que nous la portions.


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1ère mise en ligne et dernière modification le 14 novembre 2006
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