on casse les machines

ils sont marrants ceux-là


« Enrayer le progrès par souci écologique, lutter contre l’automatisation tenue pour responsable du chômage, et dénoncer les méfaits de l’informatique. Sommet symbolique de cette résistance américaine : Kirkpatrick Sale, une des figures de proue du mouvement, casse un ordinateur devant 1 500 personnes venues l’écouter au New York City Town Hall en 1995. Son plaidoyer contre le capitalisme industriel, Rebels against the Future, a été traduit en France en 2006 sous le titre la Révolte luddite, briseurs de machines à l’ère de l’industrialisation (2). »
Sce : lire l’enquête de Frédérique Roussel dans Libération


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1ère mise en ligne et dernière modification le 21 juin 2007
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