001_100 le sujet des avions
101_188 les questions de l’air
189_272 question homme
- Il y a le sujet des avions.
- Il est sujet à des avions.
- Appelons cela avions.
- Appelons cela comme lui. Comme il fait.
- Il se dit sujet aux avions.
- Comme on dit vertiges ?
- Il a commencé par se dire hors-sujet.
- Par défaut.
- Cela va faire onze ans.
- Il a commencé par déclarer toute la situation hors sujet.
- Il a commencé par dire que dans ce qu’il lui arrivait, rien n’était le sujet.
- Car quelque chose lui arrivait.
- Cela se prend d’abord à la légère.
- On pourra dire que cela se prend naturellement.
- Sans y penser.
- Cela se passe. Cela passe.
- On dira que c’est dans l’air.
- Le phénomène des avions qui lui passent au-dessus de la tête.
- Dire cela phénomène ? On ne serait plus loin de penser événement…
- Ce n’est ni plus ni moins qu’un bruit d’avion.
- Cela se passe en l’air.
- Cela lui arrive, il dit, quand un passe.
- Lui ne lève pas la tête.
- Il suffit qu’un avion passe.
- Mais il tend l’oreille.
- Il suffit qu’un avion lui passe : au-dessus de la tête : entre les oreilles.
- Il s’agit d’un avion qui lui passe par la tête.
- Un à la fois.
- Avec tous ses passagers.
- Un jour il est en forêt, il tombe sur un monument aux morts.
- Ce sont les victimes d’un crash aérien.
- Le crash d’un appareil de l’aviation civile ici en forêt.
- Et dans les alentours, les champs.
- Le monument est une terrasse en forêt.
- Entourée de murs sur lesquels sont gravés les noms des victimes.
- Par dizaines.
- Par centaines.
- En colonnes.
- Des familles entières.
- Le nom qui revient.
- D’un coup.
- Un crash.
- Il est souvent en forêt.
- Sa position est poétique, pas géographique.
- Sa recherche n’est pas historique.
- Appeler cela enquête ?
Cela qui vient ? - Il ne reconstituera aucune trajectoire. Aucun voyage. Aucune dernière minute.
- Aucun drame.
- Ce n’est pas le sujet.
- Aucun vol.
- Seulement cette suspension qu’il appelle un avion.
- Cette suspension ressentie.
- Qui lui passe dans le corps.
- Qu’il appelle sous-espace aérien.
- Qu’il appelle sous-espace d’un avion ; être sous avion ; qu’il appelle avion.
- Comme on dirait sous-ensemble.
- La forêt autour s’élève indifférente.
- Ce qu’il trouve en forêt, c’est l’atmosphère égale, indifférente.
- C’est le massif.
- Il entre dans ce massif et il y tourne.
- Il y passe des jours. Des heures.
- Se souvient du jour de son premier avion.
- Mais cet avion n’est-il pas un souvenir lui-même ?
- S’appelle réminiscence.
- Ses carnets se remplissent de ces avions.
- Ils ne tournent plus qu’autour de ça.
- Il n’en finit plus avec ça.
- Et puis les avions non plus n’arrêtent pas.
- Ils sillonnent l’espace aérien. Qui est l’espace de l’audition.
- Il suffit qu’il sorte, de la maison, de l’auto, un avion le lui rappelle. Quoi ?
- Un jour il est auprès d’une source.
- Il est penché au-dessus de l’eau étale. De l’eau contenue.
- De l’eau maçonnée on pourrait dire, encadrée : c’est dans un lavoir.
- Cela va bientôt faire onze ans.
- C’est bien après la forêt, le monument. C’est bien, bien après le crash.
- C’est trente-neuf ans, trente-neuf ans et demi après.
- C’est donc auprès de la source d’une rivière locale qu’il est penché au-dessus du bassin d’un lavoir dont les murs de pierres s’élèvent autour de lui, dont le toit a disparu.
- Quelques peupliers, immenses, reflètent leurs frondaisons dans l’eau du bassin.
- Que l’agitation ne quitte pas.
- Sa position n’est pas géographique, il dira seulement qu’il est à quelques vols d’oiseau d’une aire d’autoroute.
- Une aire de repos, il dit, que c’est à quelques vols d’oiseau — un petit paquet quand même — à l’arrière d’une aire de repos.
- Si l’on se tourne vers le grillage de clôture : le fond.
- Comme on dirait à quelques encablures.
- On pourrait dire : base arrière.
- Sa position n’est pas géographique, mais peut être stratégique : elle est poétique.
- Il sait la forêt du crash à quelques kilomètres de là, moins de dix. Il sait que l’autoroute la traverse.
- Il la traverse en auto. En vitesse.
- Quand il n’est pas en forêt, il est en auto.
- Il est beaucoup en auto. De longs temps.
- Il sait qu’aucune aire ne se trouve en forêt, mais il a bien en tête l’aire de repos qu’il évoque.
- Ou qu’il plante là : dans le décor.
- Qu’il suscite. Qu’il convoque.
- La vue par-delà les clôtures s’y perd dans les champs.
- La rivière en question.
- Cette rivière ne dépassant pas les quinze kilomètres prend sa source à l’entrée d’un vallon que révèle, au milieu des champs, le moutonnement des arbres.
- Il se dit aux confins, alors. Il ne dit pas de quoi.
- De quoi et quoi.
- Il ne sait pas sans doute, alors.
- Il se la raconte. Juste il se la raconte.
- Quoi ?
- Il y a la question de l’air.
- L’air pose question ?
- L’air c’est quoi ?
- L’air baigne.
- L’air c’est le bain.
- Va pour : C’est le grand bain.
- Va pour : Dans l’air, tout baigne.
- Tout baigne en l’air.
- Non seulement l’air baigne mais l’air traverse. L’air est traversant.
- L’air est respirant.
- Un courant de l’air traverse un département.
- C’est plutôt une masse d’air, non ? Un vent ?
- Un souffle d’air, à l’échelle d’un département. — C’est plutôt une agglomération, ou une communauté d’agglomération, avec ses zones à vocations diverses, d’activités, ou non-activité, diverses, reliées entre elles par des voies douces, soient des voies dédiées aux mobilités douces.
- Agglo ou département, le vent ne s’y arrête pas.
- À 5 km/h un vent est un voile, une robe légère, absolument, longue. Continue.
- Un vent à 10 km/h se fait insistant, ou pressant, un brin nerveux. Il est inconstant. Il agace un peu.
- À 30 km/h (vitesse qui peut s’atteindre à vélo) l’air, traversé, fait un drap ; drape ; un drapeau. Il gaine, il enfle. Il flotte (frotte) aux côtes. Il remplit qui plus est les oreilles.
- C’est la question de l’air qui se déplace. L’air circule. De la circulation de l’air.
- D’une direction de l’air. À une période p sur une zone z une seule direction, à la fois. Un sous-ensemble de l’atmosphère.
- Le vent se divise-t-il ?
- J’apprends que, en surfaces cumulées, les incendies de la péninsule ibérique en été 2025 ont brûlé l’équivalent d’un cercle de rayon 45 km qui tiendrait, en Ile-de-France par exemple, entre les villes de Meaux, Pontoise, Rambouillet, Fontainebleau — cercle comprenant Paris évidemment.
- Ayant quitté Paris pour m’installer en bordure de forêt de Compiègne, j’ai aimé que l’intra-muros et le massif couvrent peu ou prou la même surface, et je me suis représenté mentalement des correspondances géographiques entre des carrefours en forêt et des places parisiennes.
- Les parcelles numérotées rejoignaient les îlots (les pâtés de maison). Je me suis imaginé la ville enforestée.
- Pourquoi j’en viens là ? Question de dessin : est-ce qu’on peut distinguer un vent ? Le délimiter dans l’espace ? Lui conférer ou dessiner une unité ?
- Est-ce qu’on peut dessiner un vent, l’étendue d’un vent ?
- A-t-il une étendue ? S’il a une influence, a-t-il une étendue ?
- Où s’arrête-t-il ? Ou quand ?
- La somme des souffles du jour fait-elle un vent ?
- Ou bien c’est une onde : il va et vient, mais toujours, ou tout le jour dans le même sens. Il ne va et vient, ne reflue qu’en intensité.
- C’est ainsi qu’il se fait sensible. Il rappelle ainsi, par ses pics, disons sommets, disons vagues d’intensité, son existence, ou son passage.
- Un souffle de, ou dans l’air peut-il en porter ou chevaucher un autre — comme font les vagues de l’eau ?
- Il est une chose dont je ne reviens pas — cela bien qu’elle s’explique — c’est que le vent se lève. Le vent se lève le matin comme nous, et le soir, comme nous il…
- Non, le vent ne se couche pas. Le vent tombe.
- En fait, c’est ce qu’on dit. En fait, il disparaît. Il s’évanouit. Il se résorbe.
- Il doit y avoir un mot plus juste.
- Quand il tombe, c’est pour disparaître de la surface de la terre — il tombe où ?
- Le vent est quelque chose qui, dès qu’il n’agit plus, n’existe plus. En ce sens il n’est pas une personne — celui-là même qui porte un nom. Mais l’air qui cesse son mouvement — le vent cessant de souffler — demeure, j’ai envie de dire, suspendu. Ou est-ce que l’air se pose ? Est-ce que l’atmosphère est posée sur la terre ? L’air a un poids, il me semble. L’air subit la gravité terrestre, sans doute. Est-ce que l’air cesse jamais de tomber ?
- Là, pas là. Soit il est là, soit il n’est pas là. S’il n’est pas là, il n’est pas non plus ailleurs… Est-ce qu’on peut suivre le vent ? Y a-t-il une queue du vent à laquelle on puisse se raccrocher, comme à un peloton ?
- Prendre le vent, c’est le prendre en masse ou en flux, jamais le prendre par un bout.
- Quand on dit que le vent tombe, c’est où ?
- Ne fais pas l’idiot, c’est comme une colère retombe. C’est comme un soufflet retombe.
- C’est sur place.
- C’est sur lui-même.
- Ou en lui-même. Avec le vent qui tombe, c’est l’air qui rentre en lui-même (s’effondre ?).
- Oui mais, le vent, c’est de l’air qui avance. Quand il tombe, il n’avance plus. S’il avance, il est dans l’espace. S’il cesse d’avancer, il est arrivé quelque part.
- Euh
- Je repense à la pluie des atomes. À Épicure. Ma théorie, disons ma vision de la génération spontanée et continue du monde est épicurienne. Elle est lucrècienne.
- Quand je dis : génération spontanée continue, je pense aux images.
- Je pense au monde comme chute : chute continuelle des images devant les yeux.
- À la théorie scolastique des images : des espèces intentionnelles.
- À l’être spécial — à la définition ou la description qu’en donne G. Agamben.
- Agamben dit — de mémoire : l’être spécial n’est pas un sujet : il est dans un sujet. Il parle des images dans le miroir.
- Je pense que la question de l’air, c’est aussi une question de miroir.
- Grand bain. Grand pourquoi. Grand miroir.
- Les images — Les images sont des intentions qui s’avancent. Entre moi et les choses et les gens l’air se remplit d’images.
- L’air est le véhicule des images. L’air est le générateur ; est le milieu ; est l’élément des images.
- L’air que je respire véhicule les images. Les comporte.
- La question de la perception assimilée à une affaire de réception : pour qu’il y ait réception, il faut une émission préalable.
- J’émets.
- J’émets des images.
- Je traverse le monde de l’air comme un signal.
- Je ne suis pas sûr d’être fidèle à Épicure. Je suis sûr du contraire.
- Du reste, pas de monde sans air, du moins sans un élément respirable, nourricier, échangeable.
- Je connais des vents qui portent des noms. Parce qu’ils sont localisés et revenants. Épisodiques. Cycliques. Installés. Ce sont des notables. Ils sont chez eux.
- Mais ce ne sont pas des personnes. Ils ne sont personne.
- J’imagine un vent qui n’est pas chez lui.
- Un errant.
- Un vent changeant de direction, est-ce le même vent ?
- Est-ce que le vent tourne ? On dirait que oui.
- Le jour aussi vire.
- La question de l’air s’est donc réduite ici à celle du vent.
- Pourquoi est-ce qu’au détour d’un chemin, à un carrefour, à la faveur d’une halte ou, non, d’un mouvement simplement suspendu, qu’un vent se lève ou bien se fasse soudain, ou un instant sensible, je pense, ou ce sont les mots qui me viennent (me viennent avec lui ? que lui me porte ?) : le vent ce solitaire.
- Peut-on communiquer avec un vent ?
- Avec l’air ?
- Respirer, c’est quoi ?
- Respirer des images, c’est quoi ? Ça ne risque pas la noyade ?
- Être image comme on respire ?
- Puis-je ici — puisque je suis ici (j’en suis là) — m’avancer comme illustration d’un concept ? — Et qu’est-ce qu’un concept ? Un ensemble des mots posés sur un phénomène (phénoménologie ?)?
- Illustration ? Exemple.
- Défense et illustration de quoi ?
- Exemple est le titre d’un chapitre de la théorie (? ou simple défilé ? une revue ?) agambenienne de la singularité quelconque.
- J’aime les essais parce qu’ils me font voir. Ils me plongent dans le monde, plus profondément qu’une fiction. Ils m’envoient voir aussi. Tester.
- Une part non négligeable de ce qui se présente aujourd’hui sous l’appellation de roman ne relève-t-elle pas de l’essai ? essai littéraire ? de la tentative ? soit : d’une expérience ?
- Je veux dire : une expérience de vie.
- Je veux dire : vivre sa vie comme un laboratoire.
- Peut-être se considérer comme un sujet d’expérience ?
- Ou revient la question du sujet.
- En maints endroits (soit partout) de cette suite numérique, linéaire, pointe son nez, et fait signe l’arborescence, sa possibilité, sa tentation.
- Je reprends à : le vent ce solitaire.
- Il ne peut pas croiser un homme sans le prendre pour lui.
- Un homme qu’il croise, il le prend pour lui.
- Autant pour moi.
- Je le prends pour moi.
- Les hommes que je croise, je les prends chacun pour moi.
- Tout homme croisé est pris pour moi.
- Par moi, pour moi.
- Il croise les hommes seuls.
- Je croise des hommes seuls. Je croise de plus en plus d’hommes seuls. Ou je me les prends de plus en plus.
- Un homme seul : c’est lui.
- Chaque homme croisé, il se le prend.
- À chaque homme croisé, il se le prend. Le constat.
- Je le prends de plus en plus pour moi. Je me vois dedans.
- Un homme seul.
- Les hommes que je croise sont seuls.
- Je les croise seul à seul.
- Seul, je les prends comme une adresse.
- Leur solitude s’adresse à moi.
- Leur solitude se voit en moi.
- C’est en solitaire qu’il croise les hommes seuls.
- C’est en solitaires qu’il croise les hommes seul.
- Que je sois seul ou pas n’y change rien, si l’homme est seul.
- Si l’homme est seul, je me le prends seul, pour moi seul. Je me le mets de côté. Je me le garde en réserve. Je le conserve en moi.
- Je le prends comme un défi.
- Un homme seul s’adresse à moi.
- Tout homme seul.
- Sans un regard croisé.
- Que des regards ne se croisent pas n’empêche pas l’échange.
- N’empêche pas une compréhension.
- Pas la transparence.
- Je vois qu’ils ne vont pas seulement seuls, je vois les solitaires qu’ils sont.
- C’est dans l’air.
- Je vois qu’ils vont solitaires.
- C’est autour d’eux.
- Ils avancent dans la solitude.
- Cela se déplace avec eux.
- Il se sent pris à témoin dans chaque homme croisé.
- Il se voit pris pour un homme.
- Il se voit vu comme un homme.
- Il préférerait n’être guère pris plus que pour un courant d’air. Ce qu’il est — et qui est prendre l’air.
- Faites comme si je n’étais pas là …
- Prendre l’air de t …es parts…
- Considérez-moi comme votre air … Mais ça c’est dans Mishim …. et dit par une vieille femme, je crois …
- Lire, c’est se mettre entre parenthèses.
- Prendre un courant d’air, c’est attraper froid.
- Il fuit de partout …
- Mais de plus en plus les hommes le retiennent. Il s’appesantit sur les hommes.
- Où tombe le vent ? Où le vent se pose-t-il ?
- Le regard ne passe pas. Ne glisse plus.
- Dans tout homme croisé, croisé seul, dans le regard croisé, si regard il y a, regard intercepté, il se sent dévoilé.
- Pris à témoin ? Percé à jour.
- Traversé.
- Il est interpelé sans mot.
- Sans rien dire.
- Dans tout homme croisé je me sens visé.
- La question de qu’est-ce que croiser un homme ?
- De : j’en suis où avec l’homme ?
- De plus en plus les hommes l’interpellent. De plus en plus d’hommes l’interpellent. Lui posent question.
- La question est : c’est moi ou …?
- C’est moi, ça ?
- Je suis comme ça, moi ?
- Je suis vu comme ça ? Perçu comme ça ?
- Comme quoi ?
- Comme un homme seul.
- Un homme perdu ?
- Dans ce désœuvrement de l’homme.
- Cela se déplace avec lui.
- Est-ce l’image que je donne ? que je renvoie ?
- Car cela se passe dans le miroir de l’air. Ou à travers. Dans le grand miroir d’air. C’est le grand miroir de l’air. Ou atmosphère. L’air, c’est le générateur universel, atmosphérique des images. C’est image contre image, une image pour une autre, l’échange. C’est le grand échangeur. C’est dans, c’est une sous-section de l’imagier mondial…
- Un sous-espace ?
- … C’est le monde des images. Pas de monde sans son image. C’est que le monde est une image qu’on se donne, qu’on s’échange, qu’on respire. Sur laquelle on s’accorde. Ou pas. La guerre des images …’est que le monde est notre …ysage. Pas de monde sans qu’il se donne … tende à lui-même son image, sans qu’il se prouve, se montre, démontre, s’expose à lui-même.
- C’est que le monde est une image. C’est le grand miroir dans le grand pourquoi, en suspension dans.
- Est-ce que c’est l’air que j’ai ?
- D’être suspendu au grand regard ? dedans ?
- Est-ce qu’on peut lire en moi ?
- Perçu : percé.
- Il comprend qu’il est un homme.
- Il se le prend là.
- Est-ce pour cela qu’il se concentre, qu’il focalise son attention, quand il sort, sur les dépôts sauvages alentour ? Pour ne pas croiser directement des hommes ? Ne pas croiser un homme ? Pas un seul ?
- Car il y a encore la question des dépôts sauvages.
- Quand il sort prendre l’air, quand il sort faire un tour, comme le coucou de la pendule…
- Il y a le problème de tout ce qui est déchargé sauvagement, anonymement dans la nature, dans son environnement, sur son chemin.
- Je sens bien que je suis du côté du problème.
Que de souffle, bravo !
merci Émilie !
« Il se dit sujet aux avions » ça c’est une phrase pour faire voler en éclat s… et ça souffle fort! … Merci
voler en éclats, oui, Nathalie, merci à toi