bouche
l'usage du mot : Antoine Emaz


Parole qui sait sa mort, par là parole de vivant, restée vive dans le poème, au-delà de la bouche emportée, elle, dans le temps. Conscience lucide, tragique, de la finitude et de l'impossibilité d'éterniser, fût-ce par le poème, ce qui est.

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François Bon © Tiers Livre Éditeur, mentions légales
1ère mise en ligne et dernière modification le 15 mai 2006
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