Tu as tant de visages qui es-tu, celui de la nuit habillé en jour. Tu es sorti de ton placard, tu refuses de t’en rappeler quel est l’enjeu, tu as peur d’affronter l’avant qui t’a propulsé au présent de ta colère. Tu as oublié le soleil, tu as mis des filtres sur tes yeux. Tu ne vois que le noir de tes nuits. Tu as peur, tu fais peur. Cette petite voix en toi pourquoi ne l’écoutes tu pas ? Tu t’assois, ils n’avancent pas, ils s’assoient aussi, tu faiblis. Ce n’est qu’une armée de fourmis.
Codicille. j’ai repris ces mots « Cet homme habillé en jour » je l’ai fait s’interroger sur lui-même. Une voix de conscience.