15. Choisir un texte
16. Sortir de l’obsession pour pouvoir créer de nouveau
17. Faire de la déchirure une matière
18. Choisir des personnages – se laisser choisir par les personnages –
19. Trois, toujours trois. On voudrait quatre mais c’est trois
20. Sarah, Selma, Esther
21. Un miroir, le grand miroir, faites attention au miroir que vous achetez, qui donc avant vous s’est regardé dedans ?
22. Un reflet à éviter dans le miroir, qui est cette femme dans le miroir ?
23. Qui est cette femme derrière le miroir ?
24. Le palais des glaces – trois palais des glaces ?
25. Des évènements, il faut des évènements, sept évènements
26. Pourquoi sept je ne sais pas, les chiffres comme les noms, s’imposent à moi
27. La gifle
28. Le sang
29. Le mensonge
30. Le sort
31. Le voile
32. Le baiser
33. La fuite
36. Sûrement quelque part une langue qui n’existe pas
37. S’autoriser à tout écrire, ne pas garder de manière radine pour d’autres textes, qui donc m’empêche de reprendre ce qui de toute façon n’existe pas ?
38. Qu’en est-il des hommes ?
39. Une porte qui ne s’ouvre pas
40. Une bouteille de lait la nuit
41. Des images plus qu’une histoire
42. La danse d’Esther – le grand voile sur les hanches et les gypsies aux mains brûlantes
43. Et Sarah qui se mord la lèvre jusqu’au sang
44. Et Selma qui pique du sang dans son voile de mariée
45. Et le miroir, toujours le miroir. On parle de l’arbre mais c’est dans le miroir que les sortilèges se nouent
46. Toujours fille de, mère de – comment puis-je être la mère de ma mère ? comment ma fille peut-elle être plus âgée que moi ?
47. Ou rien de cela. Juste des femmes.
48. Ce qui se déchire permet aussi d’entrevoir ce qu’il y a derrière
49. Trouver une fin
50. Qu’en est-il de la folie ?