les limites

Au départ elle est constante, la vie va à son rythme; la mienne est une fonction, finissant par une droite; une allure équivalente à la vitesse d’un logarithme ;elle dérive à l’intersection d’une union étroite; elle connaitra des variations telle une sinusoide; jonglant avec les moment positifs comme négatifs; continuant sa progression de plus en plus rapide; chaque image à des antécédents et des souvenirs additifs; on recherche l’inconnu comme le x dans une équation; sa fonction dénominateur qui formera une composée; et qui dans l’absolu suit une meme direction; redirigeant ses vecteurs dans un repère orthonormé; après quelques intervalles disposées en factorielles; au bout de ma destination j’arrive à ma limite; mon existence intégrale accélerera comme exponentielle; et si je n’ai pas la solution je sais au moins qu’elle existe; dans ma linéarité me rapprochant de la fin; le chemin de mon vécu d’une manière asymptotique; cherchant la vérité je suis maintenant certain; que l’humanité est incluse dans un ensemble mathématique.