pour un ordre calme du monde
pour un ordre calme du monde
si seulement on avait pu s’arrêter ou avoir une vision un peu globale de la carte
puisque même vivre ne se justifiait pas
depuis longtemps les biens de consommation courante étaient en libre accès et personne ne s’en portait plus mal
d’utiliser les bâtiments en voie d’obsolescence pour un empilement rationnel des morts
les villes ne se rejoignent pas, elles se superposent : les trains avaient appris à traverser
plus besoin d’ouvrir les fenêtres, on distribuait l’air urbain
il était convenable qu’à ceux qui n’espéraient plus rien une dernière solution soit possible
tentative harmonieuse mais oblique d’associer habitat et lieu de travail
modes d’organisation concrets en vue de la constitution de la mémoire collective, sans les livres