une histoire générale de la vidéo en 25 exemples

ou bien juste ma petite histoire à moi...


note de mars 2020
Réfléchir à comment on avance avec ces outils neufs, c’est toujours avoir un oeil dans le rétroviseur, ne pas perdre ce qu’à chaque fois on apprend parce qu’on se lance sans savoir... Donc un petit sommaire des étapes, de 2008 à 2018, pour mieux continuer.

note d’avril 2018
Ce 9 avril 2018, mise en ligne de la 1000ème vidéo, l’occasion de revenir sur la genèse d’une aventure devenue désormais principale dans mon travail... Et les liens ci-dessous recoupent en bonne partie ceux qui ont servi dans la vidéo. Sinon, bien sûr voir le sommaire intégral.


millième vidéo, besoin qu’on se parle, 9 avril 2018, un bilan

note de janvier 2016
Ce 24 janvier 2016, étape symbolique pour mon compte YouTube, le passage aux 150 000 visionnages. Huit ans de mises en ligne régulières, quelques-unes devenues virales, et surtout – depuis 6 mois –- une pratique presque quotidienne du vlog justifient qu’on le fête.

 

une histoire générale de la vidéo en 25 exemples


Je ne peux pas dater moi-même le début exact de la vidéo dans Tiers Livre. Dès avant d’utiliser YouTube, j’avais installé pas mal de petites vidéos dans mon blog, mais c’était en conversion Flash, tout ça a disparu dans les limbes du web, sauf quelques traces ici dans Erre (qu’est-ce que j’avais bossé pour faire ça...).

vidéo 1, 12 février 2009, Georges Perec, L’infraordinaire.

Plus vraiment souvenir non plus de quand et pourquoi j’ai ouvert ce compte YouTube (2006, me dit la plateforme), mais la toute première vidéo que j’y ai installée c’est celle-ci. Je me souviens que j’avais posé le livre sur la table à repasser, pour être sous la fenêtre. Quelque chose qui concernerait ensemble la voix et le texte, c’était clairement posé, ça le reste. Dans les mois qui ont suivi, et toujours depuis lors, j’ai régulièrement posté des expériences en ce sens.

vidéo 2, 14 mars 2009, Halifax, la machine à scier la ville

Je crois que dès lors j’avais intuitivement compris l’intérêt de la vidéo. Mais pour moi, et ça allait le rester pendant longtemps, il s’agissait d’inclusions vidéo dans une page du site, et c’est le contexte du site qui fournissait l’éditorialisation de la vidéo. Dans cette rubrique sur ville et fiction, recherche d’un nouveau monde, je me sers pour la première fois d’un petit camescope Sony acheté à Halifax, sur un coup de tête, comme souvent, pour se donner l’autorisation mentale d’un basculement qui ne prendra sens que bien après... Au fait : j’ai beaucoup, beaucoup aimé Halifax.

vidéo 3, 6 avril 2009, Noirlac, ce que dit le vieux moine

Ce petit camescope bleu de Halifax est souvent dans ma poche, mais l’utilisation sur le site, conversions etc, ce n’est pas encore dans la norme, les bande-passantes du web n’avaient rien à voir avec celles d’aujourd’hui. C’est la période où, par contre, la pratique de la photo numérique devient systématique sur mon blog, en particulier avec son journal images. Aujourd’hui, d’ailleurs, je me dis que ces 10 ans de pratique de la photo numérique fixe est un viatique important lorsque je filme. Je ne sais pas encore mêler la vidéo au blog, ainsi, voilà une des seules qui me restent d’une belle résidence à Noirlac : c’est seulement tout seul que j’osais me filmer (et chanter, donc).

vidéo 4, 7 avril 2009, Bagnolet, Bergounioux, Kant, le bonheur

La question de comment faire passer du texte lu à voix haute sur le web reste permanente. Je m’aventure un peu plus. Ainsi cette prise depuis la médiathèque de Bagnolet. Alors que je dispose d’un Zoom pour le son, et que j’inclus aussi des fichiers son dans mon blog, je ne sais pas faire se rejoindre les deux univers...

vidéo 5, 15 mai 2009, chemin de Cortàzar à Baudelaire

Un des constituants les plus fascinants de la vidéo, c’est comment on s’inclut soi-même dans la prise directe, sans possibilité de retour. Comment l’accident et l’imprévu deviennent le film. Ici, au cimetière Montparnasse, la première fois que je tente cet exercice : filmer en marchant, avec la contrainte que ce soit de la tombe de Cortàzar à celle de Baudelaire. C’est une de mes premières vidéos avec le Lumix « hybride » qui va m’accompagner pour toute la durée de l’année québécoise, et abandonné le petit camescope bleu de Halifax. Noter que je continue de me rendre plusieurs fois par an sur ces deux tombes.

vidéo 6, 3 juin 2009, Montréal, NT2, une visite surprise

Etrange année, dans la mesure où, avant le départ poru l’année Québec, il y aura 3 voyages, un pour le salon du livre de Montréal fin 2008 (L’incendie du Hilton), un autre au printemps (Moncton, Halifax, Ottawa, Montréal, Québec) et un bref aller-retour à Montréal en juin. Dans cette vidéo, je fais du « vlogging » sans le savoir...

vidéo 7, 10 juin 2009, Cergy, trajet de la gare à la fac

Printemps 2009 aussi, je me familiarise avec cette idée de la « caméra à la main » – ce jour-là, colloque sur les ateliers d’écriture à la fac Cergy, comment je me serais douté que 4 ans plus tard j’aurais à refaire le même chemin 1 fois par semaine ? C’est ma 3ème année de Cergy, pas très sûr que continuer ad lib soit une bonne chose, peut-être il vaudrait mieux revenir pour moi au free-lance intégral, en attendant c’était Cergy avant Cergy : jamais je n’aurais pu imaginer qu’un peu plus tard, pendant 5 années d’affilée, je viendrais là 2 jours par semaine...

vidéo 8, 6 août 2009, [Sicile, ceci est-il un livre ?

Retour à cette question du livre considéré comme temps, avant qu’on attaque vraiment l’idée de livre numérique, et avant qu’on considère l’économie de l’attention comme essentielle. Réalisé en Sicile, c’est l’ordinateur qui devient caméra via la copie écran du processus qu’on y installe. Pour moi là aussi une vidéo-étape.

vidéo 9, 11 sept 2009, Québec, chemin vers ma résidence d’écrivain

Une semaine plus tard, départ pour l’année Québec, et la vidéo dès le 1er jour (Je traverse la mer. Je découvre seulement aujourd’hui, en les comptant, avoir mis en ligne 52 vidéos cette année-là. Pratiquement sans m’en être rendu compte, ou du moins : sans avoir pris vraiment conscience de la bascule qui se jouait. Pourtant, c’est bien le vocabulaire qui clairement est le mien actuellement -– exemple par celle-ci, dans un lieu qui a disparu, devenu la Maison des Écrivains de Québec, mais entièrement reconstruit... Dans cette pièce en sous-sol je ferai pas mal d’expériences...

vidéo 10, 25 nov 2009, bus Montréal-Québec, pourquoi n’avons-nous pas le cerveau vert ?

Cette vidéo est aussi pour moi une étape importante, peut-être le premier vrai basculement vers la vidéo-écriture en tant que telle. Chaque semaine, je fais l’aller-retour Montréal en bus. J’écris la série de textes qui deviendront Formes d’une guerre. J’enregistre directement celui-ci, de nuit, dans l’autobus Orléans-Express.

vidéo 11, 4 mars 2010, Niagara Falls, rue de la Joie

Je conçois la vidéo comme une sorte de carte postale perfectionnée pour le blog. Ma pratique reste d’abord photographique, et chaque fois s’insère dans un billet du blog. Mais le réel parfois est lui-même un jeu entre son et mouvement, comme là à notre visite en plein hiver aux chutes Niagara gelées...

vidéo 12, 8 oct 2010, Jean-Michel Espitallier, 243 cartes postales

Toujours avec le Lumix, et par exemple je n’ai même pas eu encore l’idée d’acheter un trépied — les apports de démarches extérieures manquent cruellement. Mais j’ai un peu plus confiance. Dans le blog, peu à peu, je m’autorise à capturer des moments de littérature live, ce n’est pas encore trop dans les moeurs, certains amis refusent parfois violemment qu’on les filme -– ce n’est pas le cas de « Spit »...

vidéo 13, 28 nov 2010, Tu marchais dans la maison des morts

Vidéo peu représentative, sinon par la question : le fichier son ne me suffit plus. Il lui faut une viralité, et qu’il soit aussi événement temporel. Comprendre progressivement que la table de travail, même sans passer encore à du montage, était le lieu même aussi du travail vidéo.

vidéo 14, 15 oct 2011, Pierre Michon lit la Grande Beune

Non pas comme étape, mais parce que le souvenir que j’en ai c’est comment les gens qui assistaient à cette lecture, hommage Gracq à Saint-Florent le Vieil, m’avaient tiré la gueule parce que j’avais sorti mon Lumix, un monopode et mon Zoom pour Michon lisant sa Grande Beune. Une des questions posées à la vidéo, du moins si on compare la France aux US, c’est la résistance opposée à l’utilisation publique. Reste mon cher Pierrot (entendu tant de fois en lecture depuis le début des années 90, et combien sans traces...). Accessoirement, à quelques années de distance, l’évidence de comment les institutions littéraires m’ont progressivement poussé à l’écart — ce n’est pas toujours facile à vivre, ça ne remet pas en cause la bifurcation, ni leur rigidité de plus en plus léthale.

vidéo 15, 30 mars 2012, à Fontevraud avec Claude Ponti

Le Lumix qui fatique (ne sais même pas ce qu’il est devenu), l’achat d’un petit G12 Canon qui me redonne une souplesse. Dans cet atelier mené avec Claude Ponti à Fontevraud, j’ai un petit Zoom avec captation vidéo intégrée. Les enfants, qui nous appellent tous les deux du même nom, Claude et moi (ils ont décidé qu’on s’appelait identiquement « Claude François », ce qui colle à l’idée qu’on vient les voir parce qu’on est des spécialistes connus de la profession) manipulent l’outil en pleine conscience : « Dis Claude François on fait un YouTube ? » Des questions juridiques font qu’on me contraindra à retirer ces instants vidéo, il me reste ce diaporama inclus dans l’iPad lui-même inclus dans l’expo des travaux de Claude à l’abbaye...

vidéo 16, 17 nov 2012, Brooklyn, la traversée du bruit

Autre question, décisive pour le vlogging : quand tu es immergé dans un contexte visuel pour toi extraordinaire, quelle facilité à filmer. Quand tu es dans ta routine quotidienne, c’est bien différent. Il reste plusieurs traces vidéo brutes, comme celle-ci, de ce séjour à New York, alors que la vie quotidienne est absente.

vidéo 17, 21 mars 2014, Photomaton (pour s’identifier soi-même

L’année 2013 je m’en souviens comme d’une année à visibilité réduite, l’impasse qu’était devenu publie.net avant que je le remette à meilleures mains. Enfin la coupure de vie qu’est le poste d’enseignement à Cergy et la masse de boulot que ça représente. La reprise de confiance est progressive. C’est aussi l’année de l’atelier à Fos-sur-Mer, et deux voyages consécutifs, mai et octobre, aux USA où ce sera plutôt la photo qui prendra le dessus. Sinon, Fontevraud plus Fos, le G12 a rendu l’âme, et je ne suis pas encore habitué à l’idée de considérer les appareils-photo comme des consommables (ai récemment découvert que les blogueurs US les achetaient 2 par 2...). Pendant plusieurs mois, je me contente de l’iPhone. Le voyage aux US, et principalement Chicago, c’est le passage au Canon 700D, le Reflex premier prix, non pas que j’aie eu à ce moment-là des contraintes économiques insurmontables pour l’investissement, mais parce qu’intérieurement je ne me sentais pas légitime dans l’appropriation d’un tel outil. Pourtant, qu’est-ce que je me suis rétrospectivement engueulé à ne pas être passé plus tôt au Reflex, par exemple pour l’année Québec. Avec le 700D, tout devient plus facile, ce n’est pas pour autant plus simple à maîtriser. À distance, comment ne pas avoir compris plus tôt, puisque j’étais capable de le faire, l’intérêt du film dans les situations les plus quotidiennes ? À noter (YouTube, propriété de Google, est nativement moteur de recherche) que cette vidéo reste une des plus régulièrement et absurdement consultées de la chaîne...

vidéo 18, 15 sept 2014, la littérature se crie dans les ronds-points

Alors, la littérature au moyen de la vidéo ? Le contexte de l’école Cergy, où la vidéo, trace ou création, est d’usage permanent (sans seuil d’accès) parmi les étudiants, doit y contribuer. Je m’approprie aussi un minimum d’idées techniques, même encore bien limitées. Il me faut l’été à cogiter pour passer à la réalisation : dans le contexte de désaffection culturelle, plus jamais invité dans bibliothèques, théâtres ou autre, si on veut que la littérature vive c’est à nous de la prendre en charge. Lire en public, même sans public, et balancer sur YouTube pour retrouver l’instance décisive qu’est, étymologiquement, la publication... Où cela ? Non pas dans le centre-ville, mais dans ces lieux intermédiaires, ouverts, que sont les ronds-points : et j’ai passé de fabuleux après-midi à les habiter. Ce jour-là, c’est mon premier d’une série de 36 ronds-points (une prochaine s’annonce pour le printemps...).

vidéo 19, 13 mars 2015, [Antoine Emaz, au bout du temps des morts

Même période, chaque mardi soir enfermé dans un hôtel à bas prix de Cergy, et toujours lesté du 700D pour les photos de RER, de ville, et de l’école même, je prends comme rituel compensatoire l’enregistrement d’une brève vidéo-lecture... Celle-ci est la 2ème, depuis lors elles sont hebdomadaires. C’est à la fois une série ultra simple dans le principe : prise directe, pas de montage, et en même temps une mise en place tellement basique que c’est une belle école pour la diversification des approches et dispositifs...

vidéo 20, 19 mars 2015, 30ème rond-point, Chatellerault

Même période, 30 ronds-points plus tard... Je commence à prendre conscience des limites de la prise directe. Mais je suis têtu comme un âne (du Poitou), je prétends que le montage serait une instance trompeuse... Toute l’année passée, l’expérience ronds-points aura été l’école ou le tremplin pour rendre la vidéo irréversible, voire première.

vidéo 21, 30 juin 2015, Cergy, école, dernier jour

Une bascule majeure pour moi, c’est probablement le choc de la découverte de Casey Neistat, qui commence vers cette période son vlogging au quotidien (cette première année de son vlog donc, aucun de ces grands du daily vlogging n’a continué sur le long terme, tant c’est usant), qui m’écarquille les yeux d’un seul coup. Souvent 3 ou 4 appareils de prise de vue dans un seul blog de 10’, la mise en scène de soi-même, la place avant à la narration, time lapse, montages funammbules, drone... et la ville –- Casey a la générosité de travailler à pleine vue, comme le nouveau boulanger de mon quartier, donnant constamment le mode d’emploi... Découverte progressive aussi de l’intrication entre ces as du vlogging et leur organisation réseau collective, qu’on est loin d’avoir amorcée dans la sphère francophone. Je franchis l’étape, c’est sur iMovie, pour la première fois j’accepte l’idée du montage. Ce qui ne se voit pas : c’est là précisément qu’à Saint-Cyr sur Loire nous bénéficions de l’arrivée de la fibre, au lieu de l’ADSL. Organiser une chaîne YouTube c’est lourd : dès la fibre, ça se manipule aussi facilement qu’un blog. Idem pour les téléchargements, qui du jour au lendemain deviennent quasi instantanés... C’est aussi grâce à la fibre que j’ai pu changer de calibre pour ma chaîne.

vidéo 22, 15 août 2015, Nantucket, la ville inconnue de l’océan

Dès cette première vidéo montée, je m’étais promis que le séjour à Providence sur les traces de Lovecraft, puisque j’allais être confronté à un contexte riche et neuf, serait consacré enfin à un peu d’apprentissage. Je crois que j’ai progressé, en particulier lors du voyage San Francisco, et que la journée Nantucket (mais pourquoi je ne suis pas passé à Final Cut plus tôt, là c’est encore du iMovie...) en témoigne. Et surtout d’avoir acheté, juste la veille du départ, sur un coup de tête, un petit Canon G7X, aperçu chez tant de vlogueurs US...

vidéo 23, 20 nov 2015, avec Dominique Pifarély, de l’électronique plein le violon

J’ai commencé à travailler en 2005 avec Dominique Pifarély. Donc plus de dix ans. La pratique de la scène avec lui seul, ou, selon les projets, à plusieurs, fait qu’il est très présent dans la suite des vidéos. Mais aucune que je puisse citer dans cette rétrospective : la vidéo pose effectivement la question de sa technique. Cet automne, avec ce mince extrait de répétition au TAC de Poitiers, je crois que j’y arrive — depuis, j’essaye que chacune de nos lectures soit accompagnée d’un making-of ou d’une captation.

vidéo 24, 5 janv 2016, petite chose orange un peu soyeuse dans deux mois de poussière

Où j’en suis... Quelque chose qui me fascine, pouvoir dans l’instant même, sans préméditation, déclencher pour 5 minutes dans l’intérieur d’un moment exceptionnel ou imprévu – capter l’irreproductible du réel. Cette vidéo témoignerait d’une telle pratique, là aussi avec le G7X à la main — et merci César Langlade.

vidéo 25, 11 janv 2016, Ténèbre, un cahier trouvé

Où j’en suis... Mon bureau qui se transformerait progressivement, fond noir ou pas, petit projo de chantier (le temps que j’ai mis pour comprendre comment les pièces à filmer des vlogueurs que je suis étaient bardées de dispositifs lumineux), présence de l’atelier même, et quand bien même l’atelier du plumitif, pour devenir une sorte de dédoublement du travail même, dans sa quotidienneté, dans sa trace. Ainsi, exhumer de la valise à carnets et cahiers d’autrefois ce texte ramassé dans la rue... en 1983.

Extrait de la première conclusion de cette page :

Et maintenant ? Justement, cette page parce que je n’en sais rien, mais alors rien de rien... Sauf que continuer. Content de voir que d’autres s’y mettent. On rendra cet espace vivant seulement si on le fait ensemble, vieille loi du web. Chaque jour, y compris hier, pour chaque vidéo, avoir pour défi personnel d’un petit truc appris en plus, dans la mise en place, dans le shooting (maîtriser cette dimension de l’improvisation orale construite par facettes), mais surtout dans l’utilisation de Final Cut... Je peux vous assurer qu’à chaque vidéo me reste surtout ce qui plante, le flou, le son qui sature, ce que j’aurais dû dire et que j’ai pas dit. La curiosité des statistiques YouTube (non, ce n’est pas un outil pour ados, la répartition des âges qu’indique Google est plutôt à l’image du site, ou des lecteurs de littérature).

et coda, 12 juin 2017, le danseur dans le métro (about writing and publishing on the Internet)

Merci à toutes.tous des visionnages, des abonnements, de la fidélité et de la confiance.

 


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1ère mise en ligne 24 janvier 2016 et dernière modification le 1er mars 2020
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