A propos de Nathalie Holt
A commencé en peinture, a vécu de théâtre et d’opéra, des années de scénographie plus tard ne photographie pas que son lit, tient son journal en images, écrit et marche chaque jour a publié un peu pour aller au bout d’un geste ( Ils tombaient ) ( Averses) https://www.amazon.fr/stores/author/B09LD7R2KY . Écrit pour lire.
ton titre et ses espaces dans le mot j a i m e
Merci Christophe .
Nathalie, juste magnifique. Merci !
Très touchée Isabelle. Merci à toi
Bouleversant cette « langue en sursis ». Le personnage est là dans toute sa difficulté à communiquer. Je pense au livre de Perrine le Querrec : le plancher », décortiquer la langue pour tenter de dire.
Merci Sylvia pour ton commentaire et pour le livre de P Le Querrec .
Du pur N. Holt, merci.
image oui…
je te croise avec « pour les morts » et ce point d’interrogation
la voix, la langue, la naissance de la langue…
merci Nat
Merci Clarence et Françoise … bientôt la fin de l’aventure petit pincement au chœur ( recto
Verso va laisser traces)
Ce blanc…Face cachée du dessous la langue
Très beau
Merci
J’admire le travail sur la langue, et le résultat
(et plus personnel, le taupier, un souvenir d’enfance partagé avec mon grand-père).
Merci Laure . Ce souvenir m’intrigue ( je n’ai croisé le taupier qu’en livres )
Il y en avait un à qui on faisait de temps en temps appel pour se débarrasser des taupes, quand le terrain devenait plus petit tas de terre qu’herbe des prés, du temps où j’étais enfant et l’une de ces venues avait généré une anecdote, une des rares connivences dont j’aie le souvenir avec mon grand-père.
« Ta langue n’est que trous et bal sans but ni ment » cette voix qui déconstruit le mot balbutiement se lit comme un alexandrin ; envie de le garder pour moi. Merci Nathalie !
Merci Yael, Laure, Cecile pour vos lectures.
Quelle subtile et belle musique dans ces scalps que vous faites aux mots. Et cette langue en sursis qui nous interroge si loin. Merci Nathalie. Très beau.
C’est une très belle traversée de la souffrance mal à die
Les escarres de terre
Quelle image sublime
Ta langue
Fine aiguille
Rentre dans la peau
… je n’avais pas tu la :#13 la langue en sursis …. deux mots qui claque dans un monde où la liberté d’expression est réduite à vue d’oeil et quelle langue? ah comme deux mots sis » simples » peuvent emporter!
merci!!
Merci Ève merci pour l’évocation de ce monde bâillonné .
Françoise Ugo Ève merci de vos lectures qui aident à se retourner pour avancer