interstice | à la recherche des maisons perdues

cycle « pousser la langue »


 rappel : dans les fiches imprimables, extrait de Julien Gracq, Le roi Cophetua

 image haut de page, Tiers Livre, ce qu’on voit des fenêtres de Combray

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compléments à la vidéo


Avec pour slogan « ce dont on ne se souvient pas, on doit l’écrire », une proposition très libre (avec appui sur le Roi Cophetua de Julien Gracq, quand même pour la musique), à partir d’écho ou bribes récurrentes dans énormément de textes depuis la première proposition « sols » : le souvenir évidemment lacunaire, partiel, flou ou à trous, de maisons habitées autrefois, ou bien dans lesquelles on a été de passage, une fois l’an ou une seule fois, mais qui structurent telle nuance ou telle couleur des rêves et souvenirs.

La demande qu’en s’embarquant dans cette proposition on se souvienne de tout ce que parcouru ces dernières semaines, l’étrange paix suspendue des blancs dans « Poterne Roubaud », le face à face implacable dans « Affinité avec la description », l’autopsie de l’objet avec l’oeillet de Ponge, etc…

Je rappelle que ces « interstices » sont des respirations dans la marche principale, la proposition 8 est déjà enregistrée et programmée – mais j’ai besoin de temps pour mes retours sur précédentes propositions, ça m’aide aussi à préparer la suite…

Et toujours la nécessité opiniâtre d’explorer, en venant au contact, avec les mains et tout le corps, pas seulement la tête, cette frontière toujours ténue entre ce qui justifie l’atelier d’écriture, la magnificence de son collectif, et le glissement vers le projet personnel, en figure libre !

 


responsable publication François Bon © Tiers Livre Éditeur, cf mentions légales
diffusion sous licence Creative Commons CC-BY-SA
1ère mise en ligne et dernière modification le 7 juin 2019
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