un espace où s’approprier un corps
dans la chambre où un ruisseau murmure rit pleure se met en colère parfois temps d’ennui lit trop petit au soir de l’écoute des chants du vent dans les grands peupliers yeux grand ouverts dans la mansarde rêver aux aboiements du chien qui ne supporte pas d’être attaché tête qui dodeline au rythme du train puis tombe et réveil en Continuer la lecture un espace où s’approprier un corps