Fatigué pas couché ou « la campagne du Je »
Je voudrais tellement que cette rue fût belle. Que ce pont charmât. Que l’eau coulât et que des libellules, des oies, des martins-pêcheurs. Certes il arrivait qu’au niveau de l’écluse il y ait comme un souvenir. Le bruit alors si doux. Je suis repassé en poussette. Il se présente aux élections. Dit je. (Lustrerai. Augmenterai. Ressusciterai…) – Le pire c’est Continuer la lectureFatigué pas couché ou « la campagne du Je »