#enfances #08 | Jours de chances

A propos de Catherine Serre

CATHERINE SERRE – écrit depuis longtemps et n'importe où, des mots au son et à la vidéo, une langue rythmée et imprégnée du sonore, tentative de vivre dans ce monde désarticulé, elle publie régulièrement en revue papier et web, les lit et les remercie d'exister, réalise des poèmactions aussi souvent que nécessaire, des expoèmes alliant art visuel et mots, pour Fiestival Maelström, lance Entremet, chronique vidéo pour Faim ! festival de poésie en ligne. BLog : (en recreation - de retour en janvier ) Youtube : https://www.youtube.com/channel/UCZe5OM9jhVEKLYJd4cQqbxQ

5 commentaires à propos de “#enfances #08 | Jours de chances”

  1. Ce texte est formidable. Je venais voir comment faire cette #08 qui se refuse d’emblée et je suis tombée dans le texte. On est vraiment dans des atmosphères et les trois textes sont liés et sans couture visible. Du joli travail de chirurgien esthétique ou de magicien. Et alors l’humour de « la soupe en sachet c’est pour les cosmonautes » et « mange si tu veux aller dans la lune ». Voilà qui apporte un supplément à l’atmosphère. Les paroles sont aussi parfaitement introduites et donnent assise au texte. Vraiment, merci, Catherine.

    • Merci Anne ! oui un bon moyen d’écrire sur des moments complexes tentés plein d’autres fois et cette fois vivants et vivables ! Ca m’a fait du bien aussi,

  2. j’ai plongé dans les paragraphes 2 et 3
    (plus de mal avec le 1 / pas compris l’histoire de la mort statistique du père dans un carrefour de Barcelone ?? un carrefour ? un magasin ou un croisement de routes ? il est mort et il ressuscite alors ? ou j’ai loupé des épisodes, enfin ça m’a gênée… mais j’ai continué quand même… et j’ai bien fait)
    cette odeur fade de la soupe toute faite avec des morceaux durs dedans, les hauts le cœurs
    et ce si beau manteau avec des surpiqures ! j’adore…

    • Bonsoir,
      je t’ai répondu par ailleurs mais voilà le premier paragraphe refait avec l’énergie des deux autres ! Alors des mercis ne suffisent pas, car tes regards sur nos textes et ces retours, ce sont des vrais trésors,