
retour sur quelques éléments autobiographiques tus jusqu’ici
Longtemps après la disparition de Jean Audeau, et alors que s’amorce pour moi l’ultime phase, qui me séparera probablement de l’écriture même, il est temps d’en amorcer le compte rendu qui correspondait aussi à ce que j’ai compris de sa volonté.
Les épigraphes à chacune des narrations successives sont prises au Commonplace Book de Howard Phillips Lovecraft, cet auteur (et mes séjours dans sa ville) ayant représenté une médiation importante dans mon travail de réappropriation.
Le titre La chambre double vient bien sûr des Poëmes en prose de Baudelaire. Lorsque j’ai publié mon premier livre, cela devait être le titre du suivant. Il est temps. Il y est explicitement fait référence à la pluralité des réels.
J’ai utilisé en conscience nombre de ces savoirs et exercices lors de mes propres interactions d’écriture dans des dispositifs publics, je ne crois pas en avoir outrepassé les limites autorisées.
Compte tenu du caractère extrêmement personnel, voire confidentiel, de ce texte, il paraîtra à Tiers Livre Editeur et pas ailleurs. Le PDF du manuscrit en cours est disponible dans la partie abonnés du site.
Les autres savent.
FB
– 1, ponts– 2, duplication
– 3, livre
– 4, acéphale
– 5, morts qui marchent
– 6, de l’invisible
– 7, porte refermée
– 8, sous les villes
– 9, rêves dirigés
– 10, craquement
– 11, les reconnaître
– 12, rendez-vous
– 13, rétroviseur
– 14, cette pluie
– 15, de parler dans l’autre voix
– 16, la pièce d’à-côté
– 17, rue droite volets clos
– 18, les morts les chiens
– 19, la modification
1ère mise en ligne 15 avril 2015 et dernière modification le 8 septembre 2017
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