#Chantiers Douze milles et une nuits et quelques poussières

Voila mon tout petit chantier

Quelques difficultés pour le structurer, l’étoffer …lui donner corps

Alors peut être pourra t’il grandir un peu ici

A propos de Géraldine Queyrel

Vend des rêves dans la vie réelle Rêve de fiction le reste du temps. Son blog : antepenultiemefr.

6 commentaires à propos de “#Chantiers Douze milles et une nuits et quelques poussières”

  1. Géraldine, je viens juste de lire les pages de votre chantier, m’a beaucoup touché, ai trouvé l’écriture très juste, très physique, je me suis sentie prise dans les situations. Je suis aussi curieuse de voir comment évolue le dialogue entre poésie et prose, il y a peut-être une piste à creuser ici, une relation à trouver, je ne sais pas, moi-même intéressée par les échanges de ce type, par exemple théâtre-récit (pour ma part). On voit déjà dans l’importance du blanc typographique la prégnance de l’écriture poétique, l’image subliminale du verset, et le lien avec le tremblement, de l’angoisse, la question des rythmes (rythme de l’urgence du soin, rythme de la parole du soignant, rythme de la maladie, de l’espoir, de l’amour… tout cela en tension, s’accordant et se désaccordant). Continuez, j’ai envie de savoir la suite, comment cela va pousser, hâte. Merci

    • Merci Marie pour votre lecture, vos réflexions sont très justes. Effectivement le liant prose/ poésie est un équilibre difficile à trouver.
      Je n’avais par contre pas saisit à la relecture les différents rythmes. Du moins pas totalement. Merci donc de votre aide.

  2. Beau chantier bien entamé. Les situations sont variées et rythmées. Me suis retrouvée totalement embarquée dans un univers où je n’avais pas prévu d’aller. Marie a tout dit… Belle suite.

  3. Merci pour ce chantier qui ose mettre le travail en récit, faire de la matière du boulot de la littérature (c’est une démarche qui m’intéresse depuis longtemps). Ce chantier est un joli mélange de démarches qui vaudrait le coup d’être pousser encore plus loin, réintroduire ces moments qui tranchent et qu’on ne nous explique pas ( l’image de l’accident de voiture, tout ce qui se relie aux sensations ) entre ces passages plus narratifs, mais avec ce « je » qui change tout, qui nous met à la frontière entre leurs vies et celle du narrateur.