A propos de Clarence Massiani

J'entre au théâtre dès l'adolescence afin de me donner la parole et dire celle des autres. Je m'aventure au cinéma et à la télévision puis explore l'art de la narration et du collectage de la parole- Depuis 25 ans, je donne corps et voix à tous ces mots à travers des performances, spectacles et écritures littéraires. Publie dans la revue Nectart N°11 en juin 2020 : "l'art de collecter la parole et de rendre visible les invisibles" voir : Cairn, Nectart et son site clarencemassiani.com.

9 commentaires à propos de “#été2023 #12 | Diane marmonne.”

    • Merci Danièle pour ta lecture. Je distingue deux choses, ce que je vis dans mon travail avec les gens et ce que j’écris en fiction. Et comment être fidèle aux deux tout en étant dans le champ de l’imaginaire et de la liberté créatrice. Je t’invite à lire le manuscrit qui sera présenté le 30 qui a avancé sur la question. Bonne journée.

  1. ah ce besoin d’appartenance qui nous saisit parfois, quitte à faire un
    180 ° ; pas facile sur stilettos… saisi sur le vif. Merci.
    JM

  2. Ca flotte mais il y a comme un suspens en deça. Quelque chose de sourd. On ne sait pas trop ce qui se raconte même si on sait que quelque chose a lieu ou aura lieu. C’est beau ce texte merci !

  3. L’impression très nette d’avoir vécu ça, par le passé. La laverie, le café au lait (j’ai tout transposé à Bruxelles), la présence des autres, de ceux qui se connaissent, enfin tout ce temps où l’on ne se décide pas à partir. la solitude. (eh non, jamais je n’aurais pensé demander à des hommes si je pouvais aller travailler avec eux ! mais à elle il lui semble que ce serait « se laisser emporter par ce qui pourrait advenir et découvrir »)

    Diane savoure son café et s’y accroche comme à une bouée de sauvetage à laquelle elle s’agripperait pour ne pas sombrer, pareil au jour où elle était tombée par inadvertance du bateau par-dessus lequel, elle s’était trop longuement penchée.