# nouvelles| Marie-Thérèse Peyrin| Volontiers

Lorsqu’on n’est plus obligé.e.s de le faire, tout geste nouveau d’écriture ou de lecture est une promesse qu’on se fait à soi-même. Elle ne contient qu’un passage à l’acte que l’on admet volontiers et une part abyssale d’inconnu à accueillir. Et maintenant que tombe la nuit, nous sommes pareils, à ceux qui n’ont plus de nouvelles et qui laissent ouverte Continuer la lecture# nouvelles| Marie-Thérèse Peyrin| Volontiers