autobiographies #06 | 60 minutes

Dans la nuit précédant la nuit où l’on n’en finit jamais de reculer d’une heure sans y rien comprendre, la veille devint le jour, anticipant le voyage qu’elle allait faire vers lui qui rêve déjà que l’heure est venue de leur temps, que cette heure d’octobre de sommeil en plus est une éternité, qu’une journée dure un mois, une année, Continuer la lectureautobiographies #06 | 60 minutes