#chantiers I Reflets d’une ville

C’est en effet un chantier, qui n’a plus évolué depuis la fin de l’été mais l’objectif est de le reprendre en 2022; comme tout le monde, beaucoup de choses dans tous les sens. Vos avis, vos commentaires sont (plus que) les bienvenus… Un tout tout grand merci !

A propos de Catherine K.

Mon nom complet est Catherine Koeckx (prononcer Kouks). Citadine depuis toujours mais avide de nature et de grands espaces que je partage par la photo ou l’aquarelle (www.catherinekoeckx.be), je suis aussi passionnée par la ville (@bruxelles_autrement). Bruxelles mais pas que... J’ai publié Le Guide lovecraftien de Providence en 2021 (disponible sur Amazon.fr ou sur commande privée). Je viens de lancer mon blog littéraire Itinéraires pluriels (https://itinerairespluriels.wordpress.com).

6 commentaires à propos de “#chantiers I Reflets d’une ville”

  1. Merci du partage. c’est maîtrisé, pas ennuyeux. J’ai moins aimé la réflexion sur sa ville que j’ai trouvée moins aboutie.
    38 pages sur prendre une chambre d’hôtel dans sa ville, bravo ! mais maintenant je crois que j’ai envie de sortir, d’explorer la gare ou la clinique ou d’aller plus loin encore.

    • Merci Danièle pour votre lecture et votre commentaire qui me fait plaisir et me rassure ! Je vais essayer de lire votre pdf ou tout au moins le parcourir d’ici au Zoom de lundi.

  2. Catherine, j’ai lu le texte d’une traite. Comme s’il était impossible de quitter la chambre, les chambres. J’ai donc beaucoup aimé le rythme, ces espèces de boucles aussi qui nous déplacent d’une chambre à l’autre, le retour sur les réflexions, les bouts de phrases qui se décortiquent entre elles. Parfois j’ai été prise par surprise par les surgissements des « nous » et des « on » comme si c’étaient eux qui d’un coup m’interpellent, m’invitent à prendre une chambre moi aussi et regarder par la fenêtre à imaginer els chambres voisines et à regarder les reflets de la ville, les miens.
    Vivement la suite!

  3. Très originale cette femme qui prend le temps comme d’un pas de côté pour revenir dans sa ville. Du coup, cette impression d’un regard décalé sur la ville et sur soi. Un peu comme la démarche d’un François Maspéro dans son Roissy Express ou de celle de Jean Rolin sur Paris. Ici une dimension plus abstraite avec ces mouvements chorégraphiques du regard avec comme point nodal le passage du train. Je ne sais pas si cette ville existe hors de ton texte mais ça ne me semble pas vraiment important. Et clin d’œil à la lovecraftienne ce tunnel, il me fait un peu penser à celui de Providence que François nous à montré dans ses vidéos.