propos sur les bouches qu’on nettoie à la salive, les fémurs et les probablement mortes

c’est un propos de konstantin peterzhak . encore un . c’est extrait du volume 24 des propos qu’il tient au jour le jour à l’époque soviétique . cette fois c’est à moscou . dans la rue . dans le grand froid . tard le soir . cette fois c’est à propos de ses femmes et de ses hommes de cœur . des bouts de femmes des bouts d’hommes qu’il porterait en lui et qui l’auraient fait. c’est en réponse à ce que vient de dire olga bouchoueva . son amie et collègue olga bouchoueva . une fois de plus c’est georgy flyorov qui transcrit . une fois de plus il est impossible de dire ce qui revient à peterzhak ce qui revient à flyorov . la part de réel la part d’invention . c’est une galerie de portraits . le titre est de moi . le volume 24 s’intitule quant à lui CONSIDÉRATIONS SUR LE NEZ DES CHIENS ET LE NEZ DES RATS . ce titre est de flyorov . il rapporte un voyage officiel à moscou . un voyage en voiture . konstantin peterzhak n’arrêtant pas de dire . comme à son habitude . konstantin peterzhak tenant des propos . comme à son habitude . c’est au retour à l’instant de rentrer à Dubna qu’il dit . Continuer la lecturepropos sur les bouches qu’on nettoie à la salive, les fémurs et les probablement mortes

par le devant du corps debout

DEVANT y penser toute la nuit en rêver et l’écrire au matin DEVANT quelque chose d’important pour éviter de se prendre les pieds dans le tapis DEVANT et non derrière ou sur le côté ou pire encore en l’air ou dans le suspens de l’air DEVANT tout ce qui s’offre au sol par le DEVANT du corps qui voudrait avancer Continuer la lecturepar le devant du corps debout