#L4 | Ainsi soit-il

Les récits à la lampe de poche : des aventures en mer : Sir Francis Chichester, Tabarly., le club des 5 (bibliothèque rose) conscience de la Mer, émoi écologique, esquisse, le prénom d’un bateau  « Pen Duick » qui s’envole au grès des vents et des rêves

Rimbaud : « Jadis, je me souviens, ma vie était un festin où s’ouvraient tous les cœurs, où tous les vins coulaient. Un soir, j’ ai assis la beauté sur mes genoux’

« On n’est pas sérieux quand on à 18 ans »!

le premier déclencheur, c’est Rimbaud…il partit en Abyssinie vendre des armes, il n’en revint jamais lui-même de sa découverte. ll n’en voulu pas : être un singe de salon, un « amer-lioré ». et pourtant d’amer, le marin le connait

Thomas Bernhard : (Maîtres anciens) : l’ironie, la férocité : adulte enfin ? : le job n’est pas fini….Les arbres qu’on abat : le leitmotiv du fauteuil à oreille : « je me disais dans le fauteuil à oreille »; l’humour désespéré de cet écrivain qui fuit les diners artistiques perché comme une bête sur son fauteuil à oreille, le fauteuil l’aidant sans doute à écouter à moins que son fauteuil ne soit le substitut du psychanalyste

Italo Calvino : les contes, la joie,

Racine ; la perfection du rythme avec en corollaire la tragédie- perfection de la forme, aller jusqu’à vouloir parler ainsi –pour de rire

Molière

La Fontaine : le rythme, les rimes, le jeu, l’enfance, l’adulte potentiellement, jamais advenu

Prévert : L’effort humain n’a pas de savoir vivre : on ne savait pas que Prévert n’est pas ce beau jeune homme….

Ségalen : plus tard après Prévert qui balise le terrain

Eugène Ionesco : Rhinocéros : le rythme, les jeux, l’enfance mais un peu plus : la réflexion voire la réflexivité : les tourments du sens, les interrogations devant le grand monsieur Ionesco…peut-être les premiers tourments de la réflexivité

Stéphan Zweig : La confusion des sentiments : l’amour ? encore l’amour sous d’autres angles et latitudes

Freud : le Poème Freud, la métaphore Freud, un incompris de plus ?

Kafka : Le  K –  Le château, La métamorphose : le voilà en château, en procès et pour la vie /   Amen.

Buzzati : les nouvelles, sauf Le désert des tartares qui n’en est pas une.

Giono : Regain : comme son titre l’indique : Regain de vitalité, Regain de Méditerranée, regain de vents qui disent bonjour aux haies

Pagnol : Raimu en plus

Camus : L’étranger, en plus

Duras : Un barrage contre le pacifique : la voix du barrage, le rêve de l’eau, la voix de quelqu’un et qui n’est pas Duras et qui est impersonnelle et pourtant elle. La Voix de celle qui écrit. Merveilleux moment extrême accoudée soi-même contre le Pacifique.

Frank Herbert ; parce qu’il y a des dunes, des vers, et l’Immortalité, Les sœurs Benéguésérit, la prescience sans rien dessous. Et surtout Paul Muhadib, le mantra.

Edgar Allan Poe : Les nouvelles

René Char : La parole en archipel : l’amour en archipel : rêve d’eau, rêve d’archipel, rêve de rêves, rêve de tout dire mais non finalement pas tout.

Baudelaire : Les fleurs du mal

Rimbaud : Illuminations, Le bateau ivre : comment le rejoindre, l’exaltation

Brontë Les hauts de Hurlevent : je me souviens de cette atmosphère, je vois  la maison en bois dans les landes, le feu,

Abdelwahad Meddeb : » L’exil occidental « : le nomadisme,le soufisme, « La forme et le sens se métamorphosent. « Face à l’irrévocable absence, le poète demeure le veilleur de l’être »

Le livre que j’aurais voulu écrire

Le Livre est au seuil, poème de non renonciation, poésie du combat – combat de la poésie

A compléter ….