la Sentimenthèque, version podcast

Merci à Marion Mucciante pour le montage et la réalisation de ces 2 épisodes de podcast, avec des boucles musicales généreusement proposées par Gauthier Keyaerts : On vous souhaite bonne écoute, premier podcast que nous proposons, mais un outil qui prolonge tellement bien le travail collectif. De nombreuses autres contributions nous sont parvenues, on s’en tient à cette sélection de Continuer la lecturela Sentimenthèque, version podcast

Inventaire des sentimenthèques (TEC terminé/WIP over)

Il n’y avait aucune nécessité à entreprendre ce genre de bazar sauf une curiosité qui a quelque chose de professionnelle – la profession est une affaire qui se délite depuis l’arrivée sur terre de ce virus d’opérette mais cependant climato-centré qui emmerde le monde depuis la fin de l’année 19 – il y a pas mal de chapeaux sur la Continuer la lectureInventaire des sentimenthèques (TEC terminé/WIP over)

#L4 Ma sentimenthèque

De la comtesse de Ségur, caresser sous la couverture tissée de vieux rose , les gravures salies par des petits doigts sucrés, deviner dans les taches de moisissures autant d’histoires que dans un nuage, ne pas se dispenser de lire parce qu’il n’y a que ça, que ça, que ça, dans les rayons de la bibliothèque : l’objet.   De Jules Verne, Continuer la lecture#L4 Ma sentimenthèque

#L4 Une sentimenthèque

« J’habite ma propre maison, n’ai jamais imité personne et me suis moqué de tout maître qui ne s’est pas moqué de lui-même. »Nietzsche, Le Gai Savoir, 1888. 1 —  NietzscheLe Gai Savoir. Livre lu à quinze ans. Effroi de l’éternel retour du même. Cherché au cœur du bouquin les aphorismes qui en parlaient grâce à une émission de radio enregistrée sur cassette. Continuer la lecture#L4 Une sentimenthèque

L#4 Sédimenthèque

De George Sand, La petite Fadette ; parce que, au collège, il faut bien lire autre chose que Oui-Oui, Poly, Le Club des 5, Les Six Compagnons ou Alice Détective, vous comprenez l’année prochaine elle sera au lycée, il faudrait qu’elle lise… Lire avec le sentiment de lire enfin un vrai livre (comme si tous les autres auparavant n’en étaient pas), Continuer la lectureL#4 Sédimenthèque

#L4 books

D’ E=mc2 mon amour, de Patrick Cauvin, sélectionné par Le Grand du Mois, couverture dure, en première lecture, touché, bouleversé, et l’immense espoir que tout cela m’arrive aussi. D’un Un Sac de Billes, de Joseph Joffo, avec l’aide de Patrick Cauvin, également publié chez Lattès, mais c’est le Livre de poche que j’ai dans la poche, pour aller me faire couper Continuer la lecture#L4 books

#L4 Eblouithèque Sylvie Serpette

De Brussolo : Le syndrome du scaphandrier : l’onirique, des mondes dilatés, enfantés par un rêveur éveillé halluciné. Distension des matières, l’eau, le rêve, poursuites haletantes, temps qui court étiré accéléré.  Le sommeil et ses fabriques  De Char : Fureur et mystère : fulgurance, ellipse, urgence, essentiel, phrases qui frappent, assomption, énergie, envol, et debout De James : Le motif dans le tapis, Les papiers Continuer la lecture#L4 Eblouithèque Sylvie Serpette

#L4, L’impossible liste, en oubliant Kundera, Roth, Pessoa… et même Camus, ça c’est un comble!

CENDRARS, sa poésie bousculée par le voyage et la nostalgie de la Prose du transsibérien, l’ici et l’ailleurs dans le même temps, et toujours au-delà.RIMBAUD, l’incandescence sous et dans la chair, la fleur de peau, son incroyable je est un autre…FLAUBERT le travail, encore le travail, l’application, le doute, l’acharnement, la recherche des paysages pour ses personnages, le travail toujours, Continuer la lecture#L4, L’impossible liste, en oubliant Kundera, Roth, Pessoa… et même Camus, ça c’est un comble!

#L4 | Sentimenthèque

D’Alphonse Daudet : Le Secret de maître Cornille… puis la meule brise le plâtre et aussi sûrement nous brise le coeur. De Marcel Pagnol : La Gloire de mon pèreLes olives pleines de jus, la terre poudreuse, le ciel très bleu, les cigales, la sensualité inédite et troublante de cette Provence vivace et révolue qui réchauffait notre classe de CM2 Continuer la lecture#L4 | Sentimenthèque

#4 Sentimenthèque : lire où souffrir

Avant d’écrire, d’abord, lire où souffrir.Rêver n’être que mystère, justicière masquée la nuit. Double vie.Rêver n’être que désir, quand le saphir se pose sur le vinyle, les toilettes très loin au bout du couloir qui annoncent la solitude à deux quand, bientôt, on ne s’aimera plus.Caresser l’idée de n’être plus que chienne, dans la liesse de la laisse, attachée à Continuer la lecture#4 Sentimenthèque : lire où souffrir