#chantiers | la douceur de Rémi

Pas même 20 pages, pas de quoi faire un livre. Une balade, alors ? Peut-être. Si ça vous tente… vous reconnaîtrez à coup sûr toutes les consignes de « faire un livre » et avec elles, une histoire lunaire à dormir debout. Tient-elle à peu près la route ? Faut-il la remanier, toute ou parties ? Que penser de tout cela ? Si vous flânez de ce côté…

A propos de Louise George

Diverses professions et celles liées au "livre" comme constantes.

10 commentaires à propos de “#chantiers | la douceur de Rémi”

      • Je ne veux rien dévoiler de ma lecture que je viens d’achever mais j’ai des envies de dire –

        Le titre sied parfaitement au texte,
        Rémi est si joli et m’évoque sans famille, mais pas que,
        tu as pris une direction et m’a emmené dans une autre. Des petites perles parsemées à creuser.
        J’ai aimé l’italique,
        j’ai adoré le personnage de Rémi et ce qui lui arrive.
        A la fois intriguant et dérangeant, un peu.
        Envie de connaitre la suite.
        Et l’ordre des chapitres qui peut se construire encore.
        J’ai pensé à la structuration de la maison dont tu m’as longuement parlé.
        Merci pour ce texte du dimanche.

      • Merci beaucoup pour ta lecture et tes commentaires. Contente que tu aies aimé Rémi et que tu aies senti l’ambiguïté du personnage, son côté pas lisse du tout. A très bientôt de te lire.

  1. il y a en effet beaucoup de douceur (et d’humour) dans ton écriture et comme le murmure d’un conte (pour adultes ou enfants ? )je pense aux ambiances d’Amélie Poulain et des Pennac du début. C’est tendre et on se demande ce que réserve ce poil!

    • Merci beaucoup Catherine. Je suis sensible à ta lecture, à ce que tu en dis. Conte plutôt pour adultes…Pourquoi pas.

  2. Nathalie et Catherine ont bien résumé mon ressenti à la lecture de La douceur de Rémi, que j’ai téléchargé et dont je me réservais la lecture comme un moment savoureux… Et l’étrangeté assez vite, son côté pas lisse, le titre qui envoie sur une fausse piste, son métier qui étonne, le texte qui sert parfaitement, la boulangère faite de sucre et de pièces,… C’était fini au moment où j’étais accro et sous le charme de cette histoire, de ce qui avait germé dans la tête de l’auteur, d’où cela ça venait un truc pareil. J’ai hâte d’en découvrir la version terminée. Tous les textes sont très au point. Merci, Louise et bravo.

    • Aie ! je ne sais quoi répondre. Alors merci pour ta lecture et son commentaire si détaillé. Je suis partie d’une colère que j’ai pour le fils d’une amie si paresseux et voulais le critiquer fermement mais j’ai capitulé par égard pour elle. J’ai laissé filé l’histoire, ça a donné un jeune homme amoureux de lui-même et des chevaux. Enfin presque. Bonne journée à toi et encore merci.