autobiographies #09 | paroles de la rue de Siam
Maintenant voilà ton corps allongé dans une flaque, ne marche plus fils du soleil, regarde comme je m’occupe de la mer, comme je m’occupe du sel, une à une les vagues s’extirpent de l’eau ronde, viennent nourrir le bitume, giclent sans couleur comme on voit dans le noir, personne ne viendra te ramasser, le corps plissé sous le suif avec Continuer la lectureautobiographies #09 | paroles de la rue de Siam