#gestes&usages #03 | Bill Viola

BILL VIOLA

Vers dix-sept heures, un dimanche de janvier, à Liège ; repos du guerrier chez Madame Boverie, la cafétéria du musée dans la rotonde ; une vingtaine de tables, une centaine de chaises disparates ; l’Arbre Transgénique de Jacques Lizène, accroché par le pied au plafond, l’arbre pas Jacques, tourne lentement sur lui-même, là où jadis un éléphant empaillé faisait le poirier sur sa trompe ; l’endroit résonne exagérément, les enfants s’en donnent à coeur joie ; l’art contemporain prend de l’âge ; Bill Viola trop content, billevesées ; un gardien avec une barbe à la Léopold II prévient gentiment : On ferme dans cinq minutes ; il fait noir quand nous sortons ; même si les jours rallongent, les nuits tombent toujours trop tôt

VIOLA BILL 

Vers dix-sept heures, un dimanche de janvier, à Liège ; repos du guerrier chez Madame Boverie, la cafétaria du musée dans la rotonde ; une vingtaine de tables, une centaine de chaises disparates ; l’Arbre Transgénique de Jacques Lizène, accroché par le pied au plafond, l’arbre pas Jacques, tourne lentement sur lui-même, là où jadis un éléphant empaillé faisait le poirier sur sa trompe ; l’endroit résonne exagérément, les enfants s’en donnent à coeur joie ; l’art contemporain prend de l’âge ; Bill Viola trop content, billevesées ; un gardien avec une barbe à la Léopold III prévient gentiment : On ferme dans cinq minutes ; il fait noir quand nous sortons ; même si les jours rallongent, les nuits tombent toujours trop tôt

4 commentaires à propos de “#gestes&usages #03 | Bill Viola”

  1. n’ai trouvé que Léopold … repars du III

    Vers dix-sept heures, un dimanche de janvier, à Liège ; repos du guerrier chez Madame Boverie, la cafétaria du musée dans la rotonde ; une vingtaine de tables et une centaine de chaises disparates ; l’Arbre Transgénique de Jacques Lizène, accroché par le pied au plafond. L’arbre bien sûr, pas Jacques, tourne lentement sur lui-même, là où jadis un éléphant empaillé faisait le poirier sur sa trompe ; l’endroit résonne exagérément, les enfants s’en donnent à coeur joie ; l’art contemporain prend de l’âge ; Bill Viola trop content, billevesées ; un gardien avec une barbe à la Léopold III prévient gentiment : On ferme dans cinq minutes ; il fait noir quand nous sortons ; même si les jours rallongent, les nuits tombent toujours trop tôt

  2. Vers dix-sept heures, un dimanche de janvier, à Liège ; repos du guerrier chez Madame Boverie, la cafétaria du musée dans la rotonde ; une vingtaine de tables, une centaine de chaises disparates ; l’Arbre Transgénique de Jacques Lizène, accroché par le pied au plafond, l’arbre pas Jacques, tourne lentement sur lui-même, là où jadis un élégant débraillé jouait du Poirier sur sa trompe ; l’endroit résonne exagérément, les enfants s’en donnent à coeur joie ; l’art contemporain prend de l’âge ; Viola Bill trop contente, billevesées ; un gardien avec une barbe à la Léopold III prévient gentiment : On ferme dans cinq minutes ; il fait noir quand nous sortons ; même si les jours rallongent, les nuits tombent toujours trop tôt

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