Un commentaire à propos de “”

  1. Je ne perds pas espoir, parfois ça paye. Il y a eu cet enfant l’automne dernier à quelques kilomètres, on était plusieurs et finalement on a pas pu finir. Cette fois-ci je suis seul, on dit tant qu’il y a de la vie y a de l’espoir, que l’espoir fait vivre, moi l’espoir c’est mon nom. Ils transportent ces parfums forts que les remous de la cascade ne parviennent pas à noyer, contrairement à leurs voix. Le vent me les amène mais il faut les ignorer, ceux-là n’ont pas les mêmes odeurs dans la chair.