Et en bas coule la rivière

Je décide de m’arrêter sur la place du village. Envie d’une pause, d’un café. Le bar est ouvert. Bondé. A l’ouverture de la porte, la chaleur me gifle, me renverse. J’avance vers le zinc, un grand café, s.v.p., allongé. Le barman me regarde sans sourire, mais ses yeux sont partout, accueillants, attentifs. Il finit d’essuyer le verre, lâche le torchon, Continuer la lectureEt en bas coule la rivière