En prenant le train, je pense d’abord à cette ville, et à ce qui m’attends dedans.

J’arrive avec mes bagages, la buée aux fenêtres, le sol en marbre chauffé par l’appartement d’en dessous, la terre sèche des tomates cerises en pot, la clarté de ma chambre… Voilà ce que j’apporte.

Pas fini.