autobiographies #12 | ce qui reste…

Entrée par le grand portail en chêne, deux battants, deux serrures, à droite sur le mur une rangée de boutons de sonnettes, l’immeuble s’est modernisé, le couloir sent toujours la poussière, un peu le moisi, un peu le désinfectant, odeur familière jusqu’au premier étage par un escalier tournant, vingt-quatre marches qu’il s’est efforcé toute sa vie de grimper d’un pas Continuer la lectureautobiographies #12 | ce qui reste…