transversales #2–7 | fréquence deux images par jour

Deux femmes traversent la rue de Rivoli (plus tard elles retourneront rive gauche en taxi) (il sera conduit par une femme) pour le moment elles vont chez une voyante qui avec son index droit tapera doucement trois fois sur une des lames choisies (j’ai le sentiment que ces images-là sont en couleurs) –j’ai du rêver (mais non) dans le film-annonce Continuer la lecturetransversales #2–7 | fréquence deux images par jour

transversales #02-9 | ou bien

Ou Il s’est souvenu de Mijanou Bardot, des petits autobus bleus à tarif unique, aussi du dentifrice « Email Diamant » avec son toréador chantant, aussi de quand il fut collé. Des fois, il aurait voulu disparaître derrière ses souvenirs mais d’autres fois il s’en inventait. A la lisière du visible, il fabriqua une drôle de machine à semer le doute. * Continuer la lecturetransversales #02-9 | ou bien

transversales #02 | le tremblement de la feuille blanche et fin

Deux livres qui se répondent. Deux auteurs séparés d’un demi-siècle, l’une très égocentrée sur sa pratique de l’écriture, l’autre, affable sur les raisons de la lecture. Deux livres qui ne se connaissent pas mais qui se répondent, qui ouvrent des fenêtres sur des paysages si différents et si complémentaires. Deux livres sans autre histoire que la littérature. Deux livres qui Continuer la lecturetransversales #02 | le tremblement de la feuille blanche et fin

Transversales #2 | monstres en contrepoint

Une femme. À quoi s’apprête-t-elle l’épée à la main ? Un homme qu’elle aime, qui déteste les femmes par folie sauvage. Il court dans les grands bois, l’aboi strident des chiens l’appelle. Le chœur. Il dit que l’enfant agile disperse ses flèches partout dans l’univers. Une femme. C’est un amour dément, sacrilège, d’un esprit fol. La chaîne du soleil a décidé Continuer la lectureTransversales #2 | monstres en contrepoint

transversales #02 | trames & chantiers

ça raconte un amour entre deux artistes | ce qu’il aime chez elle : la liberté et la jeunesse, elle l’aime tout court | ils peignent ensemble, leurs tableaux se répondent en couleurs et en force | lui a déjà une femme dans une autre ville, elle pense pourtant qu’il finira par l’épouser parce que leur amour est fort et Continuer la lecturetransversales #02 | trames & chantiers

transversales #02 | une semaine de compressions

Mardi 15 février Elles sont quatre. Deux circassiennes. Deux danseuses. De part et d’autre de l’océan réunies sur un rectangle noir. Tour à tour duo, trio, quatuor. Les voix conversent. Il y est question de femmes poto-mitan, de places, de doutes, de lignes de failles et de lignes de forces tandis que les corps dansent et que les cerceaux tournent. Continuer la lecturetransversales #02 | une semaine de compressions

transversales #2 | pot-pourri insolite

Pour finir, parce que cette phrase sur l’écriture m’est hier tombée dessus, je la transcris – vous le savez, j’adore les citations ! Mais de qui, mystère pour vous, si j’ai bien compris, je ne dévoile pas mes sources ! – : Fallait que je l’oublie cette journée . Perdu dix dollars au champ de courses aujourd’hui. Quelle chose inutile. Continuer la lecturetransversales #2 | pot-pourri insolite

transversales #02_6 | en ajouter

Deux femmes traversent la rue de Rivoli (plus tard elles retourneront rive gauche en taxi) (il sera conduit par une femme) pour le moment elles vont chez une voyante qui avec son index droit tapera doucement trois fois sur une des lames choisies (j’ai le sentiment que ces images-là sont en couleurs) – dans le poste il y avait cette Continuer la lecturetransversales #02_6 | en ajouter

transversales #02-5 | d’autres encore

dans le poste il y avait cette chanson qu’interprétait pour Corinne (dite Cléo) Marchand quelqu’un (je retrouverai) intitulée “Sans toi” reprise lors d’un festival de Cannes (cinéma) par une Angèle (Van Laeken, elle est de 95) en robe blanche sans la moindre voix (on s’en fout à peine) – toujours eu le sentiment que Cléo attendait de savoir si elle était enceinte Continuer la lecturetransversales #02-5 | d’autres encore

transversales #02 | à supposer que ….

À supposer qu’il y ait encore un peu de place, alors je vous dirais … C’est un village humide et sombre, sans soleil, peuplé d’habitants rustres et poisseux, hanté par d’étranges chants de bergers la nuit venue, dans lequel débarque une ethnomusicologue. Très vite l’effroi s’installe … Bonjour, Monsieur ….. , êtes-vous content d’avoir été mis au monde? Deux cents Continuer la lecturetransversales #02 | à supposer que ….