En regard des esclaves

Je passe là de temps en temps, six fois par an peut-être, quand j’ai besoin de clous, d’ampoules ou d’une étagère et que je me rends au Leroy-merlin, ou quand je vais marcher sur la promenade plantée afin d’humer les changements de saison si peu perceptibles à Paris, ou musarder du côté des vitrines des artisans du viaduc qui vendent de Continuer la lectureEn regard des esclaves