#Voyages | Voyages réels ou imaginaires.

#8. Reconstitition. Voilà pour elle le meilleur des voyages: -Vous avez étudié longtemps, devenez médecin puis psychiatre, aidé par le professeur José Lopès-Ibor, une sommité espagnole. – En voyant les électrochocs et les comas insuliniques, vous pensez que ce n’est pas possible. Et vous cherchez. -N’ayant rien trouvé de conséquent, vous vous y attelez. Et vous créez une méthode en Continuer la lecture#Voyages | Voyages réels ou imaginaires.

#voyages #prologue | Vrai ?/ Faux ?.

Vrai ? Je suis allée aux six coins de L’hexagone. En Bretagne De Saint-Malo à Brest, Lorient et puis Trégastel Plogoff Landerneau, Dans le Nord, un peu trop au pas de charge, le programme était serré. La Picardie, j’en connais tous les villages, d’Hornoy à Poix Lamaronde Monmarquet dont le nom ne dit rien à personne, sauf peut-être à Danièle. Continuer la lecture#voyages #prologue | Vrai ?/ Faux ?.

#Carnets individuels | Simone Wambeke

# 40. Il continuera dès demain matin, ce carnet. Les dix derniers jours me laissent essorée à trop cogiter, à me perdre et perdre la tête. Je prendrai dans mes morts, ce qu’il y a de plus beau de plus chaud, je prendrai loin si loin les souvenirs que j’ai d’eux qui font que je les ai choisis et aimé, Continuer la lecture#Carnets individuels | Simone Wambeke

#photofictions #09 | Ce Rond-Point-là.

C’est juste à ce moment là qu’elle est partie. Un peu de solitude après toute cette agitation salle Montagnon, elle part à droite dans la rue, passe devant le nouveau parc, celui qu’on vient d’inaugurer en septembre, avec des jeux pour les enfants et surtout les sculptures en métal représentant Léa et Oswald Bardone, (le couple qui tenait l’auberge des Continuer la lecture#photofictions #09 | Ce Rond-Point-là.

#40 fois la ville # 21. Là où il semblerait qu’il n’y ait rien.

Plus trop de magasins, plus trop de promeneurs, plus trop de vie ? Mais comment faire ? Trois fois par semaine, ramasser papiers, mégots, saletés dans la rue, on sait quand les enfants de l’école sont passés, quand le vent a tourbillonné, le samedi matin, que les jeunes se sont réunis dans le coin, cannettes, mouchoirs etc. On pense que Continuer la lecture#40 fois la ville # 21. Là où il semblerait qu’il n’y ait rien.

#40jours #39 | tard dans la vie

La lumière filtrant sous la porte de Walter Benjamin m’a permis de jeter toutes les âneries que j’avais écrites à mesure que je le lisais. Tout était réel pourtant, mais ce qu’il reste, au bout d’une journée à chercher comment j’allais mettre tout ça en forme, ce sont deux moments de lumière encore là, si tard dans ma vie. Notre Continuer la lecture#40jours #39 | tard dans la vie

#40jours # 38 | Qui donc pour…

Il s’agit là d’une frontière bizarre, un tout petit endroit enclavé dans une ville ordinaire, pas de barbelés de chicanes de murs en béton. Elle est invisible mais sûr qu’elle est là, délimitée par je ne sais quelle autorité non dite mais effective. Un endroit où la porte est fermée à clé à 18 heure jusqu’au lendemain matin, heure de Continuer la lecture#40jours # 38 | Qui donc pour…

#40jours #37 | juste une halte.

Tout au long de ce trajet, à porter encore et toujours un gros sac sur le dos, semblable à ces histoires lues souvent sous de multiples formes, semblable à ces chemins empruntés par des millions de gens, il a bien fallu des haltes. Les montagnards parcourent des kilomètres et le soir exténués dorment dans des refuges, les marcheurs du chemin Continuer la lecture#40jours #37 | juste une halte.

#40 jours. #36. Dans un cimetière déplacé.

Il m’est arrivé d’aller marcher tranquilement dans ce cimetière qui est là où il ne devrait pas être. En s’approchant avec une extrème prudence, il arrive qu’on entende les morts parler. Les noms ont été changés pour respecter l’anonymat des personnes de ce lieu, qu’ils ne viennent pas après nous chercher des noises ou nous épouvanter. Philippe Van der Frut. Continuer la lecture#40 jours. #36. Dans un cimetière déplacé.

#40 jours #35 | depuis les poubelles jusqu’à Homère

Depuis 1964, elle a beaucoup changé. Les poubelles noires au milieu de la rue, les façades ternes, mais on dirait chez Zola. Oui depuis elle a beaucoup bougé, mais certains  partent dans les communes proches,  —non mais on n’est plus chez nous — Cosmopolite elle est devenue et les rues s’embellissent, les places deviennent des parking des maisons de ville Continuer la lecture#40 jours #35 | depuis les poubelles jusqu’à Homère