#enfances #02 (3) | les colis kraft qu’elle recoit ficelés du bazar de l’hôtel de ville et on attend qu’elle déchire le papier pour s’exclamer

Les grands ciseaux de cuisine pour couper la ficelle; le scotch de la couleur du papier d’emballage (un peu plus foncé peut-être… une ou deux valeurs) qui cache les toiles à peindre toutes préparées qu’elle a reçues du Bazar de l’hôtel de ville … avec son ongle elle gratte pour soulever un coin du scotch, elle tire doucement (comme enlever Continuer la lecture#enfances #02 (3) | les colis kraft qu’elle recoit ficelés du bazar de l’hôtel de ville et on attend qu’elle déchire le papier pour s’exclamer

#été2023 #12 | Thomas Bernhard, le fauteuil à oreilles

Elle est assise devant son ordinateur, comme tous les matins. Avant 9h00, elle est seule. Elle vit pour ces quelques heures arrachées. Parfois, elle les gâche. Mais comme c’est elle qui choisit de les gâcher, tout va bien. Tout ira bien. Au bout d’un moment. La culpabilité, la honte, etc. passeront dès les premières heures bien réutilisées. Ça n’a jamais Continuer la lecture#été2023 #12 | Thomas Bernhard, le fauteuil à oreilles

#transversales #07 | lacunaire (sans se retourner)

Iom devant un clavier * Où l’on voit Iom très vieille écrire tous les matins de ses nuits. Dans le passé du passé de Iom ça s’était déjà produit, même très tôt dans sa vie; Iom adorait les histoires après elle écrivait des trucs comme des débuts d’histoire avec des dessins tout de même. Iom avait essayé de tenir un Continuer la lecture#transversales #07 | lacunaire (sans se retourner)