Fantômes

Quand je le croise dans la rue, il dit, qu’il marche avec eux. Il froisse sous son bras les journaux qu’il emporte toujours avec lui. — Ils sont là, ce sont des fantômes à présent, je marche avec eux, dit l’homme qui porte des journaux dans la lumière abrupte de la ville blanche. Dans quelques semaines nous nous reverrons dans Continuer la lectureFantômes

Beauregard

La griffure du mur quand le reflet des fenêtres : aux portes fermées, l’œil qui zoome sur les signes – F.S qui es-tu, Fanny Florence Fernando Suzanne, qui es-tu toi l’éternelle emmurée ? – sur les entailles – on grattera ta peau jusqu’à ton effondrement – la tentative de percement pour que tu t’ouvres – et te refermes dans ton ascenseur de Continuer la lectureBeauregard